Fugue distractive


Empire Hattori, Centre-ville

Année 10 | Été
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Tu restais sur tes gardes, récupérant très doucement ton ouïe, il pourrait encore tenter une attaque et à peine tu pensais à cela qu’il prenait une flûte, il était vraiment fou, un danger pour Kumo. Heureusement, il semblait tomber d’épuisement. Il n’était vraiment pas résistant, il parlait plus qu’il ne savait se battre. Il disait quelques mots dont tu te moquais, le but était de le ramener à ses parents et il était sauf, la chance pour eux. Tu regardais en direction de la Jeune fille.

Dialogue de personnage
« Pour les civils, il semble que ça va. Tu as fais du bon boulot. A l’avenir, évite ce genre de personnage totalement abjecte. Il n’y aura pas toujours quelqu’un pour te sortir d’un tel pétrin qui aurait pu vraiment dégénérer et même pour toi. »


Tu t’approchais du paquet et pour être sûr qu’il ne fasse plus de grabuge, tu t’assurais en lui mettant un gros coup de poing dans la tempe pour qu’il ne se réveille pas avant un bon moment. Autant te sécuriser et sécuriser les kumojins. Tu prenais le colis sur ton épaule.

Dialogue de personnage
« Tu devrais maintenant rentrer chez toi jeune fille et oublier ce que tu as vu aujourd’hui, c’est dans ton intérêt. Si tu croises à nouveau cette vermine, dit les le tout de suite aux autorités, il tentera sûrement à nouveau de fuir. Il ne semble pas apprécié sa cage dorée, une cage de luxe dont beaucoup voudraient sans doute. »


Ce type était totalement instable et tu étais sûr que de le garder enfermé, n’était pas la meilleure solution. Il est difficile de contenir un chilien fou enragé et à ta prochaine rencontre tu le supprimeras sans aucune hésitation.

Dialogue de personnage
« Au revoir jeune fille, nous nous reverrons sûrement. »


Tu embarquais le colis direction le quartier Hattori pour le déposer et encaisser la prime.

Publié le 21 Décembre 2020 vers 10h


Une fois les civiles à l'abri elle regardait le combat, protégeant cependant l'assemblée des explosions et empêchait toute personne de passer dans la zone. Rien qu'en regardant les quelques actions du Miwaku, elle n'était clairement pas à son niveau et par conséquent ne lui serait d'aucune aide, il devait avoir cinq, dix voir même peut-être vingt fois son niveau. Elle n'avait jamais négligé son entrainement, mais clairement elle ne pouvait rien y faire, il lui manquait peut-être des années d'expérience mais elle était certaine qu'avec tout d'abord sa polyvalence et sa maîtrise de l'art explosif elle ne lui arrivait pas à la cheville.
Le combat prit fin en quelques minutes à peine, elle se dirigea vers le Miwaku, qui, d'ailleurs, le complimenta pour la gestion des civils, elle avait fait un rapide examen comme elle avait pu, et certains allaient peut-être s'en tirer avec de légers acouphènes. Mais rien de grave. Il lui conseilla également d'éviter ce genre d'homme. Elle l'espérait bien .

Dialogue de personnage
« Merci, j'essayerais mais ça ne sera pas tâche aisé, merci d'être intervenu. »


Il lui mit un coup de poing dans la tempe et le prit sur son épaule, sa force ne la laissait pas sans réaction. Il la mit en garde et lui expliqua son point de vue de la situation et de sa situation sociale. Elle appréciait ce Miwaku.

Dialogue de personnage
« Oui je vais faire cela, j'ai une famille dont il faut que je m'occupes. Si je le vois j'interpellerais les autorités, du moins je ferais de mon mieux. Quant à sa situation sociale, je suis entièrement d'accord avec vous. »


Il s'en alla et lui dit au revoir en lui disant qu'ils allaient se retrouver. Elle ne comprit pas pourquoi mais elle lui dit au revoir aussi.

Dialogue de personnage
« A bientôt dans ce cas. »


Elle rentrait chez elle, la journée fut longue. Elle arrivait devant son taudis et entendu un cri de nourrisson qui lui était familier.

Publié le 22 Décembre 2020 vers 01h

-Flûtiste Maudit-
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Autant dire que le combat fut bref pour le jeune maître Hattori. Il se prend un violent coup dans la tempe et perd connaissance en un instant. Il est incapable de faire quoi que ce soit de toute manière. Il est porté comme un vulgaire sac de course. Il ne voit pas le trajet se faire et ce n'est pas plus mal pour lui car il aurait encore fait un cirque pas possible en voyant l'humiliation d'être trimballé comme un vulgaire colis.
Il sent son corps se balancer, mais il n'a pas assez de force pour simplement ouvrir les yeux et se contente de laisser ses bras se balancer dans le vide. Il ne devrait pas tarder à arriver à destination, ce n'est pas comme s'il avait pu aller bien loin de toute manière. Cela devait bien faire 10 minutes qu'il était semi-conscient de son trajet et il finit par reconnaître la voix familière de la domestique qui s'affole pour un rien.

Dialogue de personnage
« Courte liberté »


Pensa-t-il. Il savait aussi que ce qui l'attendait n'allait pas être des plus sympathiques. Il préfère jouer le mort pour l'instant. Il n'aura peut-être pas à faire face à sa génitrice. Il sent qu'on le renverse pour le donner aux domestiques de la maison. Ils le saisissent et disent des inépties au chien de garde venu le ramener.

Dialogue de personnage
« Pourquoi il le remercie ? Ce type n'a rien fait de bien compliquer! Un enfant aurait pu me retrouver. »


Il n'arrive pas à ouvrir la bouche et peine à ouvrir les yeux, il voit l'homme au casque devant lui. Il n'aime pas son regard. Il n'aime pas non plus son attitude sûr de lui et hautaine. C'était pour le moins ironique en voyant le personnage qui se permettait de juger. Car le plus hautain des deux n'était pas forcément celui qu'on pensait. Hotaru ne peut s'empêcher de pester en le voyant et son regard n'éprouve pas de gratitude comme il est facile de s'en douter, mais bien du mépris. Son regard apparaît soudainement plus inquiet quand il perçoit les bruits de pas bien trop familier à son oreille. Il tente de repousser les domestiques pour s'en aller, mais s'effondre aussitôt sur le sol. Les domestiques vont pour l'aider à se relever, mais il les repousse et se réduit à ramper pour fuir. Il arrive à peine derrière le Miwaku au casque. Il se tourne et sur le palier de la porte, on peut apercevoir une femme. Elle semble épuisée. Son apparence laisse à désirer, elle n'est pas coiffée, son kimono lui tombe des épaules. Elle regarde directement le jeune Hattori qui peine à fuir. Le dégoût se lit sur son visage. Elle remet son kimono et s'approche de la scène calmement. Une fois au niveau de tout le monde, elle regarde les domestiques avec un regard qui semble familier dans cette demeure. Le mépris semble être mot courant ici.

Dialogue de personnage
« Qu'est-ce qu'il fait ici ? On s'en était enfin débarrassé ! »


Dialogue de personnage
« Madame... Votre fils n'est pas fait pour le monde extérieur... »


Dialogue de personnage
« Cette chose n'appartient pas à ma famille »


Elle lâche un soupir et s'approche de fils qui exténué, à cesser de vouloir partir et se contente d'attendre son sort. Elle l'attrape par le col et commence à le trainer pour le ramener à l'intérieur. Il se débat, mais n'a clairement pas les moyens de s'opposer à cette femme. Elle lance un regard vers Azamuku de haut en bas.

Dialogue de personnage
« Il faut croire que certain sont compétant au moins dans votre clan... »


Elle tourne ensuite son regard vers les domestiques qui baissent les yeux.

Dialogue de personnage
« Vous n'avez qu'une tâche... Le surveiller ! Et même ça vous n'en n'êtes pas capable ! Bande de bons à rien... »


Pendant qu'elle sermonne les employés de maison, le jeune Hotaru essaie de se défaire de l'emprise de sa mère. Mais elle commence à s'agacer et lui met un coup de genoux dans le thorax. Cela aura le mérite de le calmer pour de bons. Elle ne se préoccupe pas de savoir s'il est capable de reprendre son souffle ou non et le traîne de nouveau avant de se tourner vers l'espion.

Dialogue de personnage
« Voyez votre salaire avec les bons à rien... Je m'en vais attacher ce démon à son lit ! »


Les domestiques restent tête basse, ils font une révérence quand la maîtresse de maison s'en va. Ils tournent ensuite leur attention vers l'homme s'étant occupé de ramener l'héritier. Ils échangent un regard et l'homme part à l'intérieur chercher de quoi payer le mercenaire. Une oreille attentive pouvait entendre les hurlements de colère de la maîtresse de maison ainsi que le verre se briser. La femme devant Azamuku faisait mine de ne rien entendre et fait une révérence devant l'homme.

Dialogue de personnage
« Merci d'avoir ramené le jeune maître... Il... Il n'est pas simple à gérer, cela à dû être pénible... »


L'homme revient avec une pochette qu'il tend poliment au Miwaku.

Publié le 22 Décembre 2020 vers 16h

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Tu arrivais enfin devant la demeure de la famille de Hotaru, tu y entrais sans même te signaler et tu déposais le colis dans la cours de la demeure, tu ne parlais pas et tu attendais jusqu’à ce que la mère arriva en se demandant ce que son fils faisait ici. Elle semblait vouloir s’en défaire mais le coup était raté, si elle avait vraiment voulu cette solution, elle n’aurait pas fait appel à tes services. Elle aurait pu te demander aussi de te débarrasser de lui. Tu attendais là et tu observais ce qui se passait sans broncher. Tu constatais juste le fait de la raison de sa folie. Tu n’aimais pas les sentiments, tu n’avais pas de famille mais tu ne comprenais pas le traitement parfois inhumain que certains parents pouvaient infliger à leurs progénitures et ce qui se passait devant toi ne te plaisait pas du tout.

Elle embarquait son fils comme un mal propre en lui collant un coup de genou en plein thorax. Tu parlais souvent de dualité, il n’y avait aucun équilibre, la mère traitait son fils comme un pur déchet indigne de porter, sans doute, le nom de Hattori. Tu en avais presque pitié de ce jeune que tu avais ramené. Tu aurais peut être du simplement le laisser fuir, ils n’étaient pas dans les meilleures conditions pour devenir quelqu’un de stable et fiable. Pour preuve, cette femme te prenait de haut même si tu avais était efficace et elle demandait à l’un de ses servants de te payer, chose qu’il faisait rapidement. Tu regardais l’argent qu’il y avait dans cette enveloppe, des bouts de papiers en soi auxquels ont donné une certaine valeur pour acheter des biens. Tu aurais pu partir simplement et laisser libre cours à leur esprit tordue, mais il n’en était rien.

Dialogue de personnage
« C’est la mère qui est dur à gérer. »


Tu regardais alors un bâtiment annexe qui semblait être le dojo familial. Tu retirais alors ton gant et tu y propulsais une boule d’argile qui prenait la forme de plusieurs mines. Le regard des serviteurs se posaient la question de ce que tu faisais.

Dialogue de personnage
« Je vous conseille de reculer. »


Tu faisais totalement exploser cette partie du bâtiment sans demander ton reste. Ça avertira certainement la famille et tes gardes, tu t’en moquais. Tu prenais alors l’enveloppe rempli d’argent que tu jetais en direction du serviteur.

Dialogue de personnage
« Pour le dérangement et faites passer le message à cette noble dame hattori que si elle continue à traiter son fils, sa propre chair de la sorte, je la tuerais purement et simplement. »


Sans rien ajouter, tu tournais les talons et tu quittais les lieux alors qu’une des annexes principales de la demeure était en ruine. Tu croisais bien sûr des gardes qui n’osaient simplement pas t’arrêter même pour une simple explication.

Publié le 25 Décembre 2020 vers 00h