Nettoyage nocturne.

Son comportement un peu enfant t’agaçait parfois et il semblait rire de tout et ne rien prendre au sérieux. Il continuait à déblatérait une tas de bêtises.



Il partait aussi tôt que tu lui disais. Tu aurais la paix un petit moment mais tu avais faim et tu n’avais pas d’argent, c’était clairement du profit. Tu le supportais des longs moment pour des missions. C’était le minimum syndicale. Tu devrais tout de même demander au raikage un salaire, ça t’aiderait ou alors tu mettrais la note et tu fonctionnerais de cette manière. Tu ne mettais pas très longtemps à arriver là où se trouvait la majorité des restaurants. Tu avais consommé un peu d’énergie et tu avais envie de viande, beaucoup de viande et il y avait un restaurant qui vendait des belles pièces. Nobuhisa n’avait pas traîné et il arrivait auprès de toi.



Tu commençais à avancer en compagnie de Nobu.



Tu entrais dans se restaurant et le serveur vous amenait à une table pour vous installer.



Tu commandais une bouteille de saké avant de commander la viande. Le serveur l’a ramené et tu servais Nobuhisa.

Il ne manquera décidément pas une occasion de te maltraiter verbalement, probablement son moyen d’extérioriser son appréciation de ta personne. Il n’est pas rare que les enfants agissent de la sorte. Il trouvait que tu étais plus rapide que prévu. Tu te contente de lever un sourcil et secouer la tête. Tu fourres les mains dans tes poches et te poste devant lui.



Tu le suis et tu vois qu’il s’approche d’un restaurant de yakuniku. La viande à volonté et relativement de bonne qualité. Pourquoi pas? Tu ne peux tout même t’empêcher de répondre à son pic.



Tu écarte les bras toujours les mains dans les poches de ta veste pour l’ouvrir et laisse apparaître ton t-shirt. Il s’agissait d’une taille fine et tu avais encore de la marge dedans.


Tu entre dans l’établissement et une table vous est montrée, tu commences à regarder le menu quand il te pose des questions concernant les dépenses plus ou moins inutiles que tu fais avec l’argent de ton maître. Tu réfléchis un instant mais tu réponds un peu nonchalamment.



Tu n’as pas souvenir d’un jour où tu n’avais pas le droit de faire ce qui te plaisait en tête et tu savais que ce n’était pas une situation classique. Mais tu n’avais pas l’intention de ne pas en profiter pour autant. Tu avais grandi comme étant son égal et tu ne voyais pas pourquoi tu ne vivrais pas comme tel aujourd’hui. En dehors du manoir, tu es son esclave, mais en son sein, tu étais un frère.

Il te sert à boire et te reparle de la mission.

Partir sans payer, tu n’avais jamais penser à faire ce genre de chose totalement stupide où tu irais te mettre au cachot toi même pour purger ta peine. Il fallait simplement que tu demandes un salaire pour couvrir certains frais. L’argent que tu avais été récupéré pour la plus part sur les personnes que tu faisais disparaître, elle n’en avait plus besoin mais ça faisait vraiment le charognard. Enfin, il n’était pas végétarien, une bonne chose qui éviterait des remarques sur ton régime alimentaire et il avait donc subit 5 années de malnutrition.



Il n’avait pas eu une vie facile mais il vivait maintenant dans une certaine opulence qui lui permettait d’avoir presque tout ce qu’il désirait grâce à un maître généreux qui choyait son ami et non son esclave.



Il était en effet impossible pour la majorité des gardes ou même des shinobis de ouvrir remonter ta trace. Un tel pouvoir de destruction n’était pas connu, du moins pas dans l’empire sauf par quelques rares personnes.



Avant de continuer, vu que c’était un menu à volonté, tu allais te servir et tu revenais avec plusieurs assiettes.



Tu les déposais délicatement et tu n’étais pas d’une telle impolitesse.



Tu mangeais comme si tu n’avais plus mangé depuis quelques jours et c’était le cas.



La proposition était sérieuse, tu ne te moquais pas de lui pour une fois.

Il semble analyser ta relation avec Yuhei, et il marque un point sur le fait que cette relation soit plutôt particulière. Il n’est pas commun de s’enticher d’un Miwaku pour en faire un membre de sa famille. Mais c’était le parcours de votre relation. Tu ne le comprenais pas en étant plus jeune, mais cela te frappe bien plus désormais.



Tu t'enfonces dans la chaise et regardes dans le vide en analysant les mots qu’il venait de te dire.





Tu écoutes simplement, le temps que ton estomac ne réclame de la nourriture.


Il part pour se servir et reste assis histoire que vos affaires ne soient pas embarquées par le premier voleur de passage ce sent d’humeur à travailler. Il revient étonnamment avec de quoi manger pour vous deux. Tu voulais faire une remarque mais prends énormément sur toi pour ne pas le faire. Tu sentais que tu le regretterais plus tard.



Tu le regardes manger les premières bouchées et constate qu’il ne rigolait pas quand il prétendait être affamé. Tu ne perds pas de temps et mange assez copieusement. Le restaurateur risquait de vous mettre dehors. Tu ne manges bien plus que ce que ton corps n’indiquait et au vu de la cadence d’Azmuku, tu te demandes si le buffet allait être capable de lui suffire. Entre deux bouchées, il te parles d’une unité spéciale à Kumo. Le manque de confiance semble le pousser à en créer une seconde pour surveiller la première. Tu ne sais pas s’il blague ou pas, mais réalise rapidement que non, il est sérieux par son manque d’humour et d’émotions plus que flagrant. Tu finis ce que tu es en train de mâcher.

Yuhei le fils du traître. Heureusement qu’il n’a pas suivis le chemin de son père, il aurait simplement finis comme lui. Les probabilités restent donc très faibles qu’ils ne reproduisent la vie de son géniteur car il était tout à fait différent de lui pour preuve avec Nobuhisa et ça aurait été sans doute le même, même si la gouvernante aurait été Hattori.

Tu étais surpris...Tu n’es pas capable d’agir par toi-même, c’est les mots qui te frappaient le plus depuis longtemps. Il n’avait pas tout à fait tord et il n’avait pas tout à fait raison. Tu stoppais un instant de manger.



Tu buvais ton verre de saké avant de reprendre.



Tu retirais alors tes gants, choses que tu ne faisais presque jamais et tu les montrais à Nobuhisa qui, malgré le sérieux de la conversation, trouverait quelques choses de sinistres à dire.



Tu remets tes gants et tu ramènes encore plusieurs assiettes. Tu allais répondre à sa question.

Il est clair que tu savais l’espion puissant, mais tu ne semblais pas véritablement prendre en compte la véritable puissance de frappe de l’homme. Il t’explique plus en détail comment son pouvoir fonctionne et tu confirmes l’idée que tu n’es pas mécontent d’être du même côté que lui. Il fallait mieux ne pas être dans sa ligne de mire le jour où il décidera de ne pas te faire de cadeau.



Tu écoutes ses mots avec attention et tu as l’impression qu’il n’est pas aussi satisfait de sa situation qu’il n’y paraît.



Il était trop tard pour les regrets de toute manière. Il n’avait plus d’autre choix que de vivre avec ce pouvoir aussi pratique que lourd à porter. Tu ne savais pas si c’était un fardeaux ou une bénédiction, mais tu ne voulais simplement pas être à sa place. La puissance dont il fait preuve est à double tranchant. Mais tu comprends aussi son air blasé face à un adversaire. Il ne semble pas trouver de véritable combat et la vie est bien triste quand tout est aussi simple d'accès.

Tu bois un peu le temps qu’il retourne prendre de quoi manger et commande une bouteille de saké qu’on apporte quasi instantanément. Tu verse la liqueur dans les deux verres et vois l’espion revenir. Yomei? Tu avais déjà eu vent de lui, sans plus d’information que ça mais il ne te faudra pas longtemps pour retrouver l’aveugle. Des missions que la majorité refuse de faire? Ça n'a pas l’air d’être un travail des plus simple, mais tu n’allais pas rester indéfiniment à la maison en attendant de voir ton aîné te donner une mission. Tu ne vois pas de raison de refuser de toute manière. Le travail de bas étage reste une de tes spécialités.

Prendre le contrôle de Kumo, en voilà une drôle d’idée. Diriger un village demande beaucoup de responsabilité et l’empereur le faisait très bien et ce n’était pas dans tes objectifs à court terme, un Miwaku devenir Raikage sous les ordres de l’empereur pourrait être envisageable et unirait Kumo, c’est une possibilité.



Tu n’avais jamais pensé à ce chemin.



Tu t’étais mal expliqué concernant cette particularité physique.



Tu continuais de manger et de boire. Tu commençais à être rassasié. Il était donc d’accord sans savoir plus et certainement d’y contribuer.



Tu finissais ton repas avant de reprendre m.



Tu t’éloignais un peu du sujet.

Il semble véritablement mettre l’empereur sur un piedestale, non pas que tu ne comprenne pas le principe mais tu n’avais jamais vraiment vu le Raikage à l'œuvre et te demandais ce qu’il pouvait bien cacher. Tu savais qu’il était d’un grand potentiel mais sans plus. Azamuku te donnait un pronostic de ce que serait Kumo s’il arrivait à l’unifier totalement. Tu essaies de te faire à l’idée et y voit juste un Kumo moins sombre. La perfection ne sera pas de mise. Mais s’il était possible de redorer l’image du pays des nuages par le biais de cette union tu n’allais lui tourner le dos.
Tu continues de manger en l'écoutant te parler de son pouvoir.



Tu prends une gorgée avant qu’il ne te lance un de ses pics.



Tu manges pendant qu’il t’explique toute la situation qui te semble des plus particulière. Une unité dans l’unité. La confiance de l’espion n’est pas simple à avoir. Tu ne sembles pourtant pas être plus surpris que ça. Tu es même plutôt en accord avec lui. Prendre tes ordres de quelqu’un qui ne soit pas plus ou moins directement sous les ordres de l’empereur t’es compliqué. Tu écoutais Azamuku par défaut car tu ne doutais pas de son allégeance.



Tu prends une gorgée et fini enfin ton assiette en étant rassasié.

Nous avons en effet un but commun, c’était indéniable mais ça n’empêchait pas que Nobuhisa avait l’art de t’énerver un peu alors que dans ton habitude tu gardes ton calme dans toutes les circonstances. En même temps, nous n’étions pas en mission, tu étais quelqu’un de très solitaire et pourtant, tu passais énormément de temps avec cette homme extraverti avec une attitude plus que déplacée dont tu aimerais souvent lui couper les mains et la langue mais tu testerais encore dans une solitude alors que tu pourrais le considérer comme une connaissance régulière avec un minimum de confiance en elle. Un bon début pour toi mais tu resterais tout de même des plus méfiants, tu ne sais pas faire autrement.



Tu pouvais être discret, mais tu n’en avais pas encore trouvé l’utilité vu la facilité de détruire tes cibles. Ce que tu demandais la, ça demandait de la stratégie car c’était très risqué et il fallait passer inaperçu.



Tu préférais être clair à ce sujet, tu craignais que tes oreilles saignent d’horreur. Il acceptait.

Tu ne peux t’empêcher de vouloir martyriser l’espion et voir ses limites dans les limites de ta survie. Tu semble particulièrement lui taper sur les nerfs et tu trouves cela extrêmement satisfaisant en sachant qu’il n’est pas un homme des plus émotif qui soit. Tu ne sais pas si cela était un talent ou un défaut, mais c'était probablement une chose qui te plaisais dans ta vie de tous les jours. Il avait l’insulte véritablement facile à ton égard et tu prenais cela comme une marque de confiance de sa part. Tu doutais qu’il soit du style à mal parler à quiconque s’adresse à lui. Enfin, ce ne serait pas si étrange au vu de son dédain pour les autres, mais jusqu’à présent, tu ne l’a pas entendu beaucoup parler à des individus lambda. Tu rigoles à ses paroles et prend ça comme une marque d’affection.



Il revient sur son manque de discrétion et t’explique les raisons du pourquoi tu serais un membre important de cette équipe. Il est vrai que ton manque de sérieux fait baisser les gardes et les soupçons rapidement. Personne ne pense qu’un gringalet comme toi soit en capacité de pouvoir neutraliser un homme. Ce n’est pas totalement faux, mais tu as dans ta manche des moyens de contrer les gens qui ne sont pas à prendre à la légère. Tu travailles encore sur ton amélioration et tu cherches véritablement à progresser. Tu ne comprends pas ce que ta vie privée vient faire sur le tapis, tu n’as pas souvenir d’en avoir parlé. De plus, elle n’était pas si active que ça.



Tu prends un verre et le bois rapidement.



Tu n’en dis pas plus car tu estimes que les mots énoncés étaient assez clairs.



Tu t'approches en prenant appui sur la table et pointe ton visage.



Tu reprend ta position assise et soupir.



Tu regardes dans le vide et ne dis rien pendant une dizaine de secondes avant de reprendre calmement.



Tu reprends un verre et réfléchit à qui dans ton entourage était capable de se battre avec rage. Personne ne te vint à l’esprit, hormis peut-être le Kaguya que tu avais rencontré la dernière fois. Il n’était pas très loquace non plus, mais il semblait capable de bien des prouesses en ce qui concerne les arts martiaux.



Tu avais eu une petite occasion de voir un autre Miwaku à l'œuvre, il n’avait pas les pouvoirs du clan mais la particularité de son affinité pouvait peut-être vous être précieuse.

Il avait toujours cet air de bonne humeur permanent comme un enfin qui est heureux de recevoir des sucres d’orge, cadeau empoisonné qui pourrit les dents, tu espères pour lui qu’il n’avait pas ce souci, il n’était pas à un vice près après tout. Il était aussi drôle que le père Noël, un humour proche du 0 absolu, tu n’avais pas besoin d’ami et tu parlais à quiconque comme tu le souhaitais.



Que tu deviens un humain lambda, te comporter comme tout le monde et il pense sérieusement que ça me rendra service? Il délire complètement le pauvre.



Tu finissais ton repas avant de reprendre.



Il me parlait de ces pouponneries, il était un Miwaku lambda, c’est certain. Il s’approchait encore dangereusement de toi. Il était temps qu’il prend une petite leçon de moqueries.



Tout n’était qu’illusion, dans son esprit tu sortais des wc déguisé en père noël.



Tu sortais un bout de papier et Nobuhisa était en tête des garçons les plus pervers de cette planète. À noël, on pardonne tout le monde, c’est la fête ! Tu sortais alors un petit quelque chose pour ce petit bambin.



Il t’avait parle de diverse chose mais tu n’allais pas y répondre pour le moment, autant s’amuser encore un peu, vu qu’il aimait tellement ça.



Tu sortais de ta hôte plusieurs ensemble de vêtements et des bijoux, tu débarrassais la table d’un coup de paillette magique et tu y déposais les présents.



Tu te mettais à chanter un chant de Noël et tu distribuais bonbons et cadeaux à tout les gens présent dans le restaurant. Tu tournais alors Nobuhisa vers la vitrine et tu claquais des doigts, la neige se mettait à tomber alors qu’une chorale de Noël prenait place, attirant le monde environnant.

Tu l’écoutes se plaindre pendant sa minute de plaidoyer quand tu es pris d’une étrange sensation. Tu n’y fais pas plus attention que ça et reprends ton écoute. Tu ne le sens pas comme d’ordinaire et il te parle d’une manière bien étrange. Tu renifles le contenu de ton verre et tu te demandes s’il n’y avait pas quelque chose de louche à l'intérieur. Il dit n’importe quoi et véritablement complètement hors de son propre personnage. Tu le regardes complètement perdu et te dis simplement qu’il fait un craquage nerveux. Il part aux toilettes, tu as enfin un peu de calme.



Tu jettes un œil à son assiette et ne sembles rien voir d’étrange, mais d’un coup un vieillard vêtu de rouge arrive en beuglant des inepties.



Tu mets la main sur ton poignet et tente de voir si tu perçois les battements de ton propre cœur. Tu n’y crois pas toi-même et décides de te planter légèrement une aiguille dans la main.



Le vieux commence à distribuer des cadeaux et tu trouves ça louche, tu restes assis sans véritablement comprendre ce qu’il se passe.



Il s’approche de toi et tu te contentes de le regarder.



Il sort une espèce de liste et fait disparaître le contenu de la table. Tu commences à percevoir la raison de cette sensation étrange dans l’arrière de ton crâne. Tu perçois l’illusion très discrètement et essaies de t’en sortir pendant que l’espion continue son spectacle. Tu n’as pas perdu autant de temps à t’entraîner pour te faire avoir comme un bleu. Tu le laisses chanter à tue-tête pendant que le reste du quartier est sous sa vision. Pendant ce temps, tu fermes les yeux et te concentres pour essayer d’en sortir. Tu n’arrives pas à te concentrer avec le raffut qu’il fait, mais après bien 5 minutes de chant de Noël tu fini par sortir et tu lances un regard des plus noir à Azamuku.