Topics de Mitsuna Momo

Alors que Chihiro continuait son discours, la petite fille se dirigeait vers Isao-kun. Mitsuna fier et très serviable, en plus d'être charismatique. Cela ne passait pas inaperçu aux yeux de la petite Arieru. Puis, vint Momo, un ami de longue, un amour de tortue que la Matriarche appréciait d'autant plus. Oui ! Répondit-elle les yeux pétillants et émerveillés par

Iroji était donc le sujet à éviter, je le notais dans un coin de ma tête, et continuais la progression en tenant fermement la petite dans mes bras. La pauvre, elle avait beaucoup subit pour son jeune âge, mais bientôt cet affreux cauchemar toucherais à sa fin. Elle en a trop vu, elle a besoin de manger et de se reposer... Cela ne répondait pas réellement à la question,

Vous avez pas le droit ! Oh non, pauvre petite poissonne ! Te voilà prise dans un filet et tu ne pouvais t'en défaire... L'homme pouvait donc t'immobiliser à sa guise et cela ne te plaisait encore moins ! Blblblblblblblblblblblblblblblblblblblbl ! Momo s'approchait de toi pour te prendre dans ses bras, mais en guise de réponse mécontente tu lui

Le voyage touchait à son terme, et Momo avait une boule au ventre, il ne savait pas ce qu'il allait trouver de l'autre côté, il ne savait pas comment toute cette histoire allait finir, mais une chose était sur, il allait faire ce qu'il faut pour survivre et pour voir Arieru survivre. La petite fille, son rire et son innocence ce monde ne devait pas faire disparaître cela de son esprit, je devai

Effectivement, retournons à Kumo. J'ai hâte d'en savoir plus à propos des Kaguya... J'aimerais sérieusement ne plus être mêlée aux poissons pendant quelques années... Ils puent véritablement, c'est affolant. Totalement détachée des vies volées, Reika était plutôt intéressée par l'originalité de certains habitants du Yuukan. Elle n'avait jamais vraiment pu avoir un combatta

Oui... ma tête me fait ecore mal... Et lorsque tu entendais la voix de Momo te dire que cette fois-ci tu pouvais fermer tes petits yeux, tu ne te privais pas pour le faire et attendait que le marchand de sable des mers passait. Bercée par la cadence plus lente de ton copain tortue tu essayais encore de lutter contre le sommeil, mais avec toutes ces émotions et ce mal de tê

La petite fille cherchait encore ses parents, le choc allait être terrible quand en grandissant elle allait comprendre qu'ils étaient sans doute mort mais d'un autre côté avec un peu de chance on allait aussi les retrouver. Je ne sais pas... J'espère... Pas question de lui mentir en lui donnant de faux espoirs à propos de ses parents, j'allais plutôt lui donner d'autr

La pauvre petite, j'avais bien compris le sort que ses parents avait du avoir il était hors de question que je la laisse seule dans un orphelina ou élevé par des monstre qui allait en faire une guerrière sans cherché à comprendre ce qu'elle avait reelement envie de faire dans la vie. Bien sur je n'étais qu'un ancien paysans aillant appris à me battre par la force des choses, mais j'étais sur de p

Je mangeais une plaquemine en écoutant tour ce que Iroji avait à me dire. Il n'était pas idiot, mais un éventuel amour entre lui et Chihiro obscurcissait son jugement, au point de sous-estimé la jeune femme. Elle allait faire l'affaire seule, et son physique ainsi que sa diplomatie ferais la différence. Un gros Mitsuna, un guerrier Mitsuna avec elle ? Ce serait tout de suite braquer les Konohajin

Je ne pouvais pas plus mal tomber qu'avec ces deux là encore Iroji etait plus ou moins sympathique, mais Akai était un monstre. Be n'avais pas envie de tuer les humains, c'était un accident qui m'avait conduit à en tuer un. Mais là je devais en tuer deux de plus ? Je devais délibérément ôter non pas une, mais deux vies ? Hors de question ! Mais en même temps, si je ne le faisais pas, il allait san

Le talent Uzumaki, j'était con de ne pas pensez que leurs talent héréditaire du peuple au cheveux de feu puisse servir dans ce genre de situation. Après tout, c'était pour ces capacité de scellement que des enfant Uzumaki furent vendu pas les Chikara par le passé. une période bien sombre qui expliquait en partie les part d'ombre qui sévissait encore aujourd'hui. je n'approuvait évidemment pas cela