Retrouvailles


Le Cœur - Région de Kinchū, Quartier administratif

Année 8 | Printemps

II. Sauvetage de Miyuka

Dialogue de personnage
« Je ne suis peut-être pas aussi cruelle que ma réputation à l’extérieur ne le laisse à penser ? »


Dis-tu avant de pousser un long soupir. Sa mort ne t’apporterait rien et Miyuka n’était plus aussi dangereuse que par le passé. Celle que tu connaissais n’aurait tout simplement pas perdue aussi aisément face à une embuscade. Non, elle était plus fourbe et plus maligne que cela autrefois, elle avait perdue ce qui faisait d’elle une kunoïchi utile.

Dialogue de personnage
« Je me fiche que tu m’aides d’avantage, mais si tu te tiens à carreau tu n’as pas de raison de mourir. Avec ou sans toi, les rebelles finiront par se faire avoir. Et si tu les as aidé d’une manière quelconque, tu ne pourras que te sentir coupable d’avoir participé à leur chute. Les ninjas auraient tous du abandonner dès le Kakusei. »


Les laisser en liberté n’était hélas pas une option, la preuve en était avec ces escarmouches. Cela faisait déjà trop longtemps que vous laissiez ce mouvement prendre de l’ampleur, et bien que les ninjas étaient affaiblis, un groupe bien organisé demeurait une véritable menace qu’il fallait prendre au sérieux. Bientôt, peut-être que l’Empire n’aura plus l’opportunité de faire preuve de pitié, et le véritable massacre commencera.

Dialogue de personnage
« Si l’Empereur ne te considère pas comme une menace et vient à accepter, fais une croix sur la vie de princesse, car tu devras travailler en ville pour subvenir à tes besoins, et tu auras interdiction de faire un quelconque usage de ton chakra. Pour finir, tu ne pourras pas quitter la capitale sans autorisation. »


Tu n’avais rien de plus à ajouter, si bien que tu commenças aussitôt à te diriger à nouveau vers la porte de la cellule. Miyuka était une cause perdue, il ne tenait qu’à elle de décider comment finir sa vie désormais. Alors juste avant que tu ne passes le pas de la porte, tu dis quelques derniers mots :

Dialogue de personnage
« Même si notre relation n’a jamais été particulièrement affectueuse, je te remercie d’avoir été là lorsque plus personne ne l’était. »

Il y a 3 semaines