Le revirement d'un blondinet

Le gamin se mit à gratter sa nuque en riant suite à ses stupidités, il aimait taquiner son frère. Il répondit alors :


Le gosse se mit à faire des bruits insupportables avec sa bouche. Il venait de s'asseoir sur un siège et il s'ennuyait déjà. La magnifique propriétaire ne tarda pas à arriver.


Manjiro souriait, mais il cachait quelque chose... Comme s'il était en train de mentir. La femme était debout, sur des deux talons, elle faisait face aux deux gosses.



La femme se calma.



Il se mit à tendre sa main droite en direction de son frère.

Susceptible? Sans doute un peu, il est parfois difficile de garder son calme face à toutes ces bêtises et des paroles parfois irritante à l’ouïe. Je devais faire avec quand même, j’ai l’habitude mais parfois il m’énerve sérieusement. Surtout quand il ne sait pas tenir en place comme il le fait actuellement, je n’ai qu’une envie, le bâillonner et le balancer dans un trou. De plus, il ne sait pas se taire, il est beaucoup trop spontané.



Son questionnement est fugace mais elle ne semble pas pour autant en colère de ce s’unît vient de dire. Manjiro qui ne peut pas s’empêcher de remettre une couche.



Il avait raison, elle tenait avec nous mais elle veut le coincer. Au final, mort ou enfermé, ça revient au même du moment qu’il ne peut plus agir dans Konoha… et voilà l’autre qui recommence à s’exciter, je l’ignore tout simplement.



Je la regarde perplexe.



Il fallait tout de même rester prudent et être sur de tout.

Manjiro se mit à écarquiller ses yeux, il n'en revenait pas que son grand-frère était en train de l'ignorer. Il continuait de teindre sa main alors que ce dernier était clairement en train de l'ignorer. Le jeune blondinet n'en doutait pas ; son entourage DEVAIT l'écouter. Il était important et il connaissait de nombreuses choses. Donc, les personnes devaient l'écouter. Un raisonnement un peu toxique et faux, mais Manjiro n'était pas du genre à se torturer l'esprit. Il voulait qu'on l'écoute. Il ne bougea pas en attendant que son frère tape dans sa main. La cheffe du clan se mit à parler :

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Il se mit à faire des clins d'oeil à son frère pour lui taper dans la main. Il n'allait pas abandonner.

Toc toc toc était le bruit que tu faisais en frappant à cette énième demeure... Et tout ça pour quoi ? Pour avoir accepter la vente de cookies à la place de sales gosses incompétents... Tu pensais qu'en acceptant que tu serais accepter et que tu pouvais sociabiliser, mais une fois l'acceptation faite ! QUE NENI !
Au fond, est-ce que cela te faisait de la peine ? Absolument pas. Tu te demandais quelle réaction allait avoir les personnes qui se trouvaient à l'intérieur ou du moins, s'il y avait quelqu'un ? Bof, ce n'était pas vraiment ton problème, car ton objectif était de vendre les cookies. Tu avais appris des plus grandes actrices de du théâtre et tu observais continuellement les gens en permanence.

Tu insistais une seconde fois pour être sûre de savoir s'il n'y avait vraiment personne.


Demandais-tu de ta voix peu rassurée.

Qui pouvait bien oser le déranger de la sorte pendant la réalisation de son plan si diabolique !! Il ouvrit la porte et fit les yeux doux :


Durant ce temps-là, la cheffe du clan Chikara se mit à parler à Jundo :


Le blondinet tendit sa main à la petite Chikara et dit alors :


Au même niveau que la naine, il n'hésitait pas à lui parler avec une certaine tendresse.

La porte s'ouvrit !!! Te voilà paniquée à cette situation dont tu avais peu l'habitude ! Comment devais-tu réagir ? Mais alors que la tête blonde de ton interlocuteur dépassait à peine le pas de la porte, tu étais surprise de son admiration fasse aux cookies. Tu étais un peu intimidée, car tu t'attendais plus à te faire chasser gentiment ou brutalement comme à ton habitude.


Enfin, fais un effort ! Tu sais mieux te présenter que ça tout de même, non ?


En revanche tu ne savais pas si la personne en face de toi te prenait pour une enfant et si cela n'était pas du à ton apparence de petite fille...




Tu levais la tête vers le ciel en pensant à voix haute.


Tu n'en avais pas le souvenir pourtant quand tu avais leurs âges. Est-ce que tu faisais exprès de ne pas relever le sujet très très important que ce jeune tentait de t'évoquer ? Non. Tu ne t'en moquais pas, mais tu ne savais pas quoi faire de cette information non plus.


Mais qui était ce "nous" d'ailleurs ? Tu ne voyais personne d'autres pour le moment à l'entrée.

Je continue d’ignorer l’autre petit singe, il va pouvoir rester dans cette posture un long moment alors que j’écoute le plan, en effet très simple, mais totalement réalisable. Il est tellement commun que Tensai ne devrait se douter de rien et c’était là meilleur des solutions que l’on pouvait espérer pour obtenir enfin sa chute et s’en débarrasser une bonne fois pour toute.



A ce moment on frappe à la porte et Manjir, sans gêne va ouvrir alors qu’il n’est pas chez lui, voilà encore un bel exemple d’un manque d’éducation.



J’entends alors la conversation. Il s’agit d’une fille qui vends des cookies… il faut vraiment être dérangé par n’importe quoi.



On ne peut jamais être en paix.

Manjiro était étonné de constater qu'une femme se déguisait en gosse. C'était sûrement une coutume normal des quartiers riches de la capitale. Le bagarreur s'en fichait bien. Il décida de tout simplement en prendre quelques uns et de déposer un billet suffisamment gros dans le panier.


Oui, car elle était sûrement une espionne. Manjiro n'en doutait pas le moindre du monde, il connaissait ce monde de magouilles et il savait que Tensai n'était pas le seul Chikara à essayer d'acquérir le pouvoir au sein du clan. Il retourna alors avec ses congénères et écouta le plan d'action tout en continuant à faire le pitre. Le ninja le savait, son futur devait être radieux et il ne devait pas compter sur les autres pour ça...

Malgré tout, il éprouvait une certain dégoût envers sa propre personne.


Après plus d'une heure, les Chikara se quittèrent avec un terrible plan en tête...

Tu entendais une voix grondante à l'intérieur. Apparemment tu venais d'interrompre un dîner familiale très très important ! Tu t'en voulais un peu sur le moment. Du moins, c'est ce que toute personne normal aurais ressentie. Ce ne fut pas ton cas. Alors, tu vis le jeune blond s'empresser de prendre quelques unes des boites avant de déposer un gros billet dans ton panier...

Un salut à sa manière et te voilà à te faire claquer la porte au nez.


C'était la première fois que quelqu'un agissait de façon peu commune. Tu n'avais pas l'habitude d'un changement d'attitude aussi subite ! Ce jeune homme t'intriguait beaucoup et surtout, qu'entendait-il par "on se reverra, ma petite !" d'un air aussi enjoué et enthousiaste. Tu ne cherchas pas à comprendre plus longtemps. Il était temps pour toi de reprendre ta route pour la vente des cookies restants. Est-ce qu'au moins les autres enfants voudront passer du temps avec toi ave ces bonnes nouvelles ?