un mort-vivant.

Par le passé, il aurait certainement dis qu'il comprenais ce qu'elle disait. Trouvez sa place était une forme d'objectif dans la vie qui permettait sans doute d'atteindre une forme de paix intérieur. C'était une vison assez optimiste de la vie de personne qui n'avait pas connue le malheurs. par le passé, le peau d'ébène aveugle avait trouver sa place. Il avait surmonter son handicape pour devenir un guerrier. Chose que l'on lui refusait à la base. Il avait trouver l'amour, des amis fidèle. un cause à défendre. Mais tout ça appartenait au passé. Il ne restait que des souvenir ne faisant que ravivais sa haine contre le monde dans lequel il vivait. Dans ce monde crée par "mère-Nature". Comme pouvait le prêcher Salomon par le passé. Le Yuukan n'était pas leur Eden. il était un enfer et seul lui semblait le voir.

C'est ce qu'il pensait lorsqu'il était alors voir cette nouvelle cheffe des Kirishitan qui n'avait aucune comparaison possible avec la défunte Risako pour Saïto. Malheureusement, elle était à l'image de la voix que son peuple semblait prendre. La voix de la paix sur cette nouvelle terre.


La douleur de sa blessure se ravivait, lui arrachant une grimace. A moin que se soi les souvenir remontant qui en son l'origine.


Soupirant, il laissa à nouveau le silence s'installait.

Tsubomi nota l'utilisation du passé. Son amie médecin... ne devait plus être de ce monde pour qu'il parle avec cette douleur de la voix. Saïto grimaça. La Chikara en profita pour vérifier son bandage, légèrement imbibé de sang. Rien d'inquiétant cela dit. Il ne restait plus qu'à laisser le temps faire son travail.
Même si la jeune femme avait prit connaissance d'autres blessures plus profondes, d'une tout autre nature...



Un énième silence s'installa. Tsubomi alla chercher le plateau laissé dans un coin de la pièce. Elle le posa sur la table près de la tête du Kirishitan. L'assiette dégageait une légère odeur de bonne nourriture. Evidemment, elle n'avait pu s'empêcher d'essayer de tout résoudre par la nourriture...



Elle s'apprêtait à partir, quand elle ajouta :

L'aveugle ne savait trop que pensait de la gentillesse de cette konoha-jin finalement. Essayait t'elle simplement de l'amadoué afin de changer sa vision du monde. Ou pensait-elle sincèrement l'aider? C'était difficile de faire confiance au gens, et encore plus lorsque l'on ne pouvais même pas avoir un quelconque indice visuelle. Le peau d'ébène pouvait seulement se fier au son de la voix pour ça. Ce n'était malheureusement pas d'une grande aide dans cette situation.

Immobile, il ne réagis pas lorsqu'il sentit du mouvement au niveau de sa plaie. Sans doute Tsubomi vérifiait l'état de la blessure. Ou elle souhaitait l'achever ce qui l'arrangerai. Malheureusement, c'était la premiére option. Les mouvement ne s'arrêtèrent pas et quelque chose fût déposé à proximité. Son odorat n'étant pas défectueux, il en déduisit rapidement qu'elle venait de servir son repas. Si son corp réclamait la nourriture, son esprit n'était pas de cette avis pour le moment.


Se redressant légèrement, il se décida à chercher quelque peu son repas du bout des doigts. La jeune femme semblait décidé à partir. Son travail continuais après tout. Il ne compter pas la retenir.


Dit-il avant de pousser un léger soupire. Pouvait t'il vraiment trouver la lumière dans ce monde?