Un lézard au soleil...

Elle se mit alors à rire en repensant au passé et bien que son île était un souvenir désagréable, elle imaginait pouvoir y retourner au moins une fois pour remercier sa mère... Après plusieurs heures de marche, Kalia commençait à désespérer quant au fait de continuer la route avec Rakun ou avec le Kumojin. Sans la moindre honte, elle se mit à sortir la lettre de Kuraso de son sac.


Bien qu'elle s'en plaignait, la demoiselle se montrait particulièrement impatiente d'en savoir plus. Elle mit alors à regarder l'enveloppe, elle était étrange et un drôle de symbole semblait y être marqué.


Sur ce même papier, une liste de noms était indiquée... L'enveloppe était relativement lourde.


Elle se mit alors en tête de rejoindre Kumo avec l'aide du vieillard qui était bien plus informé qu'elle au sujet des routes. Kalia n'était pas idiote, elle ne comptait se présenter aux portes du village... Elle comptait agir avec intelligence en trouvant un Kumojin.

Toute cette neige, et le bruit des ghoule qui n'était pas loin, pour le momentbil m'était impossible d'utiliser mes sens pour retrouver la femelle, j'avançais alors sans relâche dans la forêt avec l'espoir de pouvoir la trouver avant que ce ne soit les sangsue qui nous trouve. J'allais très vite sur mes quatre pattes, et à un moment j'eu l'impression de l'entendre rire, Elle était loin d'avoir un rire discret, j'avançais alors à toute vitesse en direction du rire que j'avais entendu, et rapidement je tombé sur des traces de pas dans la neige. Je n'étais pas un pisteur, alors tanuk le vieux et la femelle m'aurais était impossible sans neige et sans la voix qui porte de celle-ci.



Plusieurs longues minutes de courses à quatre pattes passèrent, et j'entendais clairement mon amie parler, alors me vint une idée dangereuse, mais c'était tellement drôle j'allais leurs faire une tanuk, en espérant que le vieux ne casse pas sa pipe Avec le choc. Alors que je retrouvais mes amie, je sauté devant eu en faisant un grand !



Puis je rigolais d'un rire franc que je tentais d'étouffer avec difficulté, ils auraient dû voir leurs Tanuk à tout les deux...

L'homme le plus âgé sursauta à la blague ridicule du Tanuki. Kalia soupira.


Elle ne l'avouait pas verbalement, mais elle s'était légèrement inquiétée pour son sort. Elle soupira alors de satisfaction.


La Kirishitan le savait déjà, le poilu allait sûrement beugler comme un singe mécontent. Elle inspira et expira :


Elle se mit alors à faire une tête "mignonne" en ouvrant grand les yeux et en souriant. D'après certains Chikara, c'était un moyen pour dire aux hommes d'accepter quelque chose.

Et bien j'aurais mieux fait de rester planqué dans la forêt et de faire le mort plutôt que de revenir pour entendre toute les tanuk que la femelle avait a dire. Kumo ? Sérieusement ? Le quartier général des yeux jaunes ? J'avais entendu dire qu'ils mangeaient les Tanukball de Tanuki parce qu'il pensait que c'était un aphrodisiaque, une rumeur chez les Tanuki disait que les yeux jaunes était mou de la tiges parce qu'il s'accoupler entre membre d'une même porté...



Je soupirais, puis je marchais en mettant des coups de pied dans la neige et en bougonnant, puis je revint pour rigolait alors qu'elle parlait de la famille.



Je le regardais avec un regard pensant et accusateur, il fit même un petit signe de tête pour confirmer mes dire, sans doute par peur que je ne le morde. La femelle elle n'arrêtait pas de me fixer en faisant quelque chose de bizarre avec ses yeux qui me mettais mal à l'aise alors pour qu'elle arrête je fini par dire en soupirant...

Tout en marchant, Kalia se mit à soupirer en écoutant les dires du Tanuki...


Elle se mit alors à sourire et reprit alors en voyant que le vieux n'était pas très à l'aide avec cette quête vers Kumo :


Le vieillard possédait effectivement une carte réservée aux commerçants. Celle-ci permettrait aux différents intervenants de dormir dans des villes civiles plus importantes.


Elle se mit alors à rire en regardant son ami si petit. Ils arrivèrent à la fin de cette forêt et firent face à une énorme plaine verdoyante :

La femelle enchaînait vraiment les mauvaise idée à tel point que je me demander si elle n'était pas un tanuk à problème, mais maintenant que j'étais avec elle je ne me voyais pas recommencer ma vie seul, je m'étais habituer au contact des humains, je les avaient adopté, la femelle était en quelques sorte mon humain de compagnie.



Tout les Tanuki était d'accord pour dire que j'avais un fumé incroyable, que je dégagée une odeur particulièrement virile ! Pas question de perdre ça dans de l'eau ! Jamais je ne me baignait !



Je m'étais trop de Tanuk dans mes phrases les humains n'avaient pas l'air habitué à ça, nous arrivions alors vers ce qui semblait être la plaine de Kusa, mais je n'étais pas certain de cela, un sourire s'affichait sur mes lèvres, on devait être enfin debarasser des sangsues.

Caractérielle, la Kirishitan préférait les plats dans les bons restaurants que les truites mal cuites par le Tanuki et elle n'était pas du tout du genre à cuisiner. L'animal de compagnie n'avait sûrement pas mieux à proposer.


Elle se mit alors à rire en s'imaginant dans un hamac proche d'une plage.


Le vieillard lui fit signe que non.

Elle savait utiliser ses charmes de femelle pour faire plier le vieux, elle faisait la même chose avec le yeux jaune, mais cela ne fonctionnait pas avec moi, la femelle était en train d'essayer de me tanuk l'esprit pour que j'accepte mais je n'étais pas un idiot. J'avais envie de dire non vraiment, j'aurais dû le faire, mais je n'avais pas envie d'être à nouveau seul.



J'étais dur dans mes propos, mais c'était principalement pour cacher le fait que j'avais de la peine d'avoir abandonné le Hattori derrière pour nous enfuir.



Je prenais alors la route en premier...