Il en attendait peut-être trop. Il est vrai qu'il c'était écouler quelque année depuis qu'il avait temporairement croiser le chemin d'Hinae et des enfant Gaikotsu. lui même venait seulement de quitté Kumo en compagnie d'Inoiya... il ne savait même pas ce que la compagne de son défunt sensei était devenue suite à la guerre. il était en même temps difficile de retrouver les gens une fois séparée... Le Yuukan était si vaste...
De plus, son temps était limité, dés demain, il serait de nouveau sur les routes. il ne pouvait pas rester ici, de part pour sa sécurité. Mais il se doutait que s'installer dans un tel village était compliqué. Ce n'est pas pour rien qu'il avait vécu caché à Kumo. Au mieux, il trouverais à moyen de soigner la Kenketsu de Konoha avant son départ. mais la situation était compliqué. L'occasion ne se présenterais peut-être pas d'ailleurs.
La partie shopping raviva quelque souvenir également au singe. bien plus récent, il repenser à ces jours plus ou moin paisible à Kozan, en compagnie de Rei. Une époque ou il n'avait pas à s'inquiéter. il était avec lui et personne ne leurs en voulait. Du moins, il y avait sans doute des Kenketsu après eux à l'époque. mais le singe doutait que les sangsues prenne le risque de pénétrer une ville civile très protéger comme Kozan. Les samouraïs semblait tenir particulièrement à cette ville. Ce qui se comprenait vu son importance économique et militaire. Comme tout ninja, le singe zieutait un peu partout en essayant d'être discret ce qui attiré son attention. Il devait même reconnaitre que certaine arme de Konoha l'intriguait. Il y en avait certaine qui semblait avoir des imilarité avec la lame de Bakura. mais il ne saurais dire en quoi. il n'osait même pas les toucher. S'il prenais ce risque, il y avait des chances pour que la Kunoichi l'attaque sans aucune forme de procés. Trop risqué.
Aprés l'achat de Kunai, sans réellement chercher à savoir pourquoi la femme en avait acheté. Elle devait déjà en possédait suffisamment pour remplir son rôle du jour non? Le duo s'arrêta à une boutique de vêtement. Une nouvelle fois, le singe n'avait pas trop d'avis à donné et il se retrouva avec une pille de de différent vêtement à essayer. Avant sa rencontre avec Rei, il y aurait eu des chance pour que ce dernier face une remarque du style: "pourquoi acheté des vêtement? les miens ont encore utile." ou encore "bah, chui sur on peut les rafistoler encore un peu". Surtout que le corbeau lui en avait déjà rafistoler pas mal. Saru n'était pas quelqu'un de soigneux à ce niveau. Bien qu'il prenait un grand soin de l'épée qui lui était temporairement confisqué.
Après quelque minutes à essayer, il ressortit avec une choix plutôt basique. Un pantalon noir pas trop large pour généré les mouvement mais suffisamment pour caché la présence des poids situé sur ces tibia. ils avait passer la fouille et il ne tenait pas à ce que on les lui confisque. Ils avait le droit de s'entrainer quand même! Pour ce qui était du haut, il avait pris un nouveau t-shirt blanc cachait par un épais pull gris avec un col qui cachait son cou. Une manière de caché un peu plus le sceau d'Usagi. il n'avait pas sélectionner beaucoups plus. Il ne souhaiter pas abusé de l'hospitalité de la Kitto au cheveux vert.
« Je vais prendre que ça si cela ne vous dérange pas... »
« Ouah, tu joue même la carte de la politesse. Tu l'était pas autant à Kumo. »
Les rôle était également inversé. C'était Saru qui était libre de déambulais alors que Kitai était que la part de lui rongeait par la haine. une haine qui avait fini par se tarir au fil du temps.
« C'est quoi cette odeur? »
Humant l'air, un odeur plus qu'agréable flottait dans l'air. De quoi relancer l'appétit non totalement satisfait du Gaikotsu. Les plat cuisiner, il n'en avait pas suffisamment profité depuis que le sang n'était plus son régime alimentaire exclusif. Depuis Kozan, il vivait de la chasse, la pèche et la cueillette. Ce qui était bien différent de la VRAI cuisine.
Question purement dirigé par la politesse, bien que ces jambes avait déjà commencer à s'y diriger. Il avait encore un appétit à satisfaire. Les quelque en-cas et cacahuète n'allait pas le conduire à satiété.