Oui.. Tu avais ce cou si sensible entre tes mains maintenant et il ne te restait qu'une chose; forcer pour lui briser le cou. Tu te mordais les coins de la lèvre alors que tu imaginais toutes les scènes les plus dégradantes quand son corps ne fera qu'un avec la mort. Il t'insultait, mais tu n'entendais pas. Tu n'entendais plus les paroles. Tu avais décidé d'embrasser cette fameuse folie et ce plaisir interdit et il était trop tard pour te raisonner. Tu avais atteint ton apogée et maintenant, tu ne souhaitais plus qu'une chose; les tuer et saccager leurs corps. Peut-être que tu ne survivrais pas, mais tu ne pouvais partir sans accomplir ton chef d'oeuvre. Alors, tu forçais, le plus fort que tu pouvais, incrustant tes ongles lentement dans sa peau. Cependant, la petite tchoin de l'Hattori avait décidé de réagir. Cette salope s'approcha alors de toi qui prenait un plaisir dans cette situation, puis, te prit dans le cou et te fixa dans les yeux. Tes pupilles étaient dilatés par cette folie qui avait prit le dessus, tel un animal. Étrangement, en quelques secondes, la chambre où que vous étiez avait disparu, laissant une ambiance.. étrange dans cette pièce. C'était quoi, cette sorcellerie? Où que la gitane t'avait amener? Des éclairs frappaient dans le ciel, tombant proche de toi. Elles étaient rouges comme le sang sur le sol, comme le sang sur les corps. Les cris retentaient, te faisant rappeler ce fameux soir où que toute ta famille avait perdu vie. D'ailleurs, les corps gisant sur le sol étaient les membres de ta famille. Ta mère, ton frère... tout le monde était présent et mort devant toi. Néanmoins, peut-être pensait-il que tu avais une once d'amour pour eux, tu laissas un rire exploser, alors que tu le fixas, le sourire fendu jusqu'aux oreilles.
« Tu crois que tu vas me faire culpabiliser, la gitane? Hahahaha.. Tu fais pitié. »
Le Miwaku n'avait pas dit son dernier mot. Comme s'il avait prit tes dires pour un défi, celui-ci claqua des doigts, faisant apparaître des ronces qui lacéraient la peau de ton corps, te faisant saigner. La douleur semblait tellement réelle.. que tu tombais facilement dans le piège du Miwaku sans le savoir. Tu grognais sous la douleur, mais, sous ces grognements, il cachait aussi un plaisir malsain. Tu aimais ce que la souffrance t'apportait en ce moment, tu rêvais que.. cette douleur soit mutuelle. Tu pouvais quasiment baver à force de gémir qui était distordu entre la douleur et le plaisir. Tu laissas un petit rire narquois passé entre tes lèvres quand la petite esclave de l'Hattori vint te menacer. Pour rien au monde, tu le supplierais. C'était lui qui allait bientôt goûter à sa propre médecine ou était-ce la tienne? Tu avais ce sourire arrogant sur ton visage, confiant en tes capacités à lui résister. Mais alors que tu observas d'une telle arrogance la petite pute devant toi, tu perdis aussitôt ton sourire quand celui-ci approcha doucement le kunai vers ton si beau visage. Tu avais un visage sévère colérique, tandis que le son de ta voix était sec.
« Tu fous quoi, grosse catin? »
Sans même te répondre et ni arrêter, le Miwaku planta alors pour tailler doucement la peau de ton visage. Tes yeux s'écarquillèrent peu à peu. Tu ressentais de la rage envers lui, mais aussi, un sentiment drôlement inconnu. Tu connaissais pas ce mot qui t'envahissait tranquillement alors que la courtisane commençait à arracher la peau de ton visage petit à petit. Tu commençais à hurler, à lui ordonner d'arrêter, à le maudire, mais en vain. Il n'écoutait pas. Il n'écoutait plus. Pour la première fois; tu étais la proie. Tu ne pouvais rien faire pour arrêter cette douleur. Il t'avait montrer ce visage tellement ignoble qui faisait maintenant partie de ton corps et cela te faisait perdre la tête. Tu pouvais tout accepter les douleurs du monde, mais, saccager ton charme, ton charisme de la sorte... tu ne pouvais accepter.
Après ces minutes aussi longues, tu hurlais de toutes tes forces, puis, par pure réflexe, tes mains se plaçaient sur ton visage, incrustant tes ongles dans la peau. La peur, mais aussi la rage se lisait dans ton regard qui avait sombrer dans la folie. Tu avais l'impression de voir ce fameux visage hideux partout où tu regardais.
« LES MIROIRS , MON VISAGE, RETIREZ LES, LES MIROIRS !!!! »
C'était les premières paroles que tu laissais entendre, alors que ton corps se déchirait peu à peu sous le mouvement de l'épée. Tes ongles serraient fortement tes joues, laissant peu à peu des marques apparaître sur ta peau. Tu n'attendais guère les paroles de l'Hattori devant toi, mais malgré que tu t'entais de l'observer du coin de ton oeil, tu évitas de le regarder dans les yeux, par peur de voir cette autre personne derrière ta mue. Néanmoins, avec tout le courage qu'il restait, tu lui criais dessus à plein poumon.
« JE TE MAUDIS HATTORI AVEC TA SALOPE MIWAKU. J'VAIS VOUS HANTER ET BRISER VOTRE ÂME. JE VAIS VOUS ENCULER ET V- »
Tu n'eus guère le temps de finir ta phrase, que la lame trancha ce qui te retenait en vie et, d'un coup, les rideau fut abaisser alors que tu fus apporter par la faucheuse...
HRP : Hosoroshi est mort.