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Oui.. voir le visage de ce jeune Miwaku se rapprocher de toi à une vitesse assez élevée te faisait lentement dessiner un sourire sadique. Tu sentais que le coup lui serait fatale, au vu de ta force contre la sienne. Seulement pensé de le voir grouiller au sol, comme une larve et te supplier de l'épargner te ferait le plus grand bien. Malheureusement, ce fantasme était bien loin d'être réel, vu que la petite tchoin de service avait décidé de briser le plaisir. Il dut rapidement faire quelques mudras pour s'entourer d'un concon de bandelette pour se protéger de ton coup puissant. Le sourire qui était en train d'apparaître fut aussitôt effacer et tu laissas un visage dégoûté par cet homme. Peut-être serait-il mieux de le finir maintenant, vu que le lapin ne voulait pas jouer avec toi aujourd'hui? Après tout, tu avais déjà ton animal de compagnie et tu n'avais guère besoin de plus pour t'amuser. Serait-il même mieux de trancher le gibier devant le maitre de ce dernier? Comment réagirait-il face à ton acte de guerre? Cette pensée te fit frémir de plus belle et tu étais déterminé maintenant à cette objectif; Tuer la courtisane de ce cher Hattori.

Tu allais faire un pas, puis deux, mais hélas, tu fus alors interrompu par l'épéiste qui fonça à toutes vitesses sur toi, tu eux le temps de tourner, par réflexe de mettre ta main sur sa lame. La plaie était douloureuse, t'arranchant un grognement sur le coup, mais, dans ton état, tu ne pouvais plus distinguer ce qu'était dangereux ou pas. Tu prenais seulement.. goût à ce jeu. L'avertissement de l'Hattori t'arrancha un rire quasiment incontrôlable, froid et noir. Tu levais la tête, laissant voir ton vrai visage. Tu n'étais plus du tout comme on te décrit, car tu ne cachais plus ton jeu. Tu montrais ta vrai nature; celle d'un serpent venimeux.

Dialogue de personnage
« Crois-tu que j'ai peur de souffrir ou de mourir, Yuhei? »


Sans même lui laisser le temps de te répondre tu forçais dans ton épaule pour, non seulement enfoncé l'épée un peu plus loin, mais te laissant approcher de l'Hattori. Le sang coulait à flot, tandis que le son des déchirures de ta peau, de tes muscles et de tes vêtements se faisaient entendre. Rien n'était normal désormais. On entendait ton rire étouffé entre les gémissements, tandis qu'un sourire brûlait sur ton visage, laissant une vision d'horreur. Tu te rapprochais alors de l'Hattori et, de ton bras libre, tu le pris rapidement par la gorge pour la serrer aussi fort que tu le pouvais.

Dialogue de personnage
« Je ne te laisserais pas me voler mon chef d'oeuvre aussi facilement. L'extase doit être accomplit à tout prix. »


HRP : En gros il a délibérement enfoncé l'épée plus loin en forçant son épaule et, de soln autre main, il la lever pour étrangler Yuhei et de faire pop-up sa tête comme un pimple.

Publié le 14 Septembre 2021 vers 20h

| Ombre Blanche |

Ce type était complètement cinglé, mais ce n’est pas comme si cela t’étonnait vraiment. Tu observes la scène sans un mot et te concentre du mieux que tu puisse. Tu n’appréciais pas la personne et les menaces qu’il proférait à l’encontre de ton frère ne faisait que renforcer ce sentiment de mépris que tu ressentais bouillir au fond de toi. Les mudras s’enchaînent et tu es fin prêt à bondir sur le Hattori en réalisant qu’il était en train d’essayer d’étrangler Yuhei. Une chose inconcevable pour toi et tout simplement un outrage. Tu avances et profites du fait qu’il ne soit pas en mesure de rendre les coups pour lui attraper la gorge et forcer son regard dans le tien.

Bien qu’il soit probablement des plus atteint psychologiquement, tu avais décidé de jouer avec son esprit d’avantage pour le briser entièrement. Le monde autour de lui devient nuance de gris avec des éclaires rouge sang. Tu laissais entendre des cris dissonants en le regardant dans cet espace où seuls vous pouviez vous mouvoir, ou presque. S’il voulait marcher, le sol s’effondrera sous ses pieds et il reviendra automatiquement à la même place. Il pouvait voir autour de lui des corps gisant sur le sol. Ceux de sa famille, son frère tout particulièrement. En un claquement de doigt, des ronces poussent hors du sol pour venir lacérer sa chaire au fur et à mesure de la pousse. Tu prenais ton temps car ici, il passait différemment. Tu tourne autour de lui comme un vautour en souriant.

Dialogue de personnage
« Tu me supplieras de t’achever avant la fin… »


Ton regard était sombre et ton sourire des plus inquiétant, tu n’avais que rarement l’opportunité de laisser cette facette faire apparition. Et les rares témoins n’étaient plus ici pour en parler. Un kunai à la main, tu profite de la paralysie de Hosoroshi pour tailler autour de son visage avant de commencer à arracher sa peau centimètre par centimètre. Tu ne manquais pas d’imagination et tu en profitais pleinement. Tu continues ta session de torture jusqu’à ce qu’il n’est plus un millimètre de peau sur le corps avant d’enchérir souriant.

Dialogue de personnage
« Le corps humain est fascinant… Encore plusieurs heures pour le découvrir… »


HRP : Je ne pense pas décrire les 7h, mais dites vous que je fais mumuse avec lui. :D

Publié le 24 Septembre 2021 vers 20h

| Ombre Prodige |
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Ton épée avait pénétré sa chair. Tu sentais à travers le métal de ton arme la déchirure froide de celle-ci, glissant dans un sifflet caractéristique qui d’ordinaire donnerait des frissons dans le dos à n’importe qui. Tu regardais ta lame s’enfoncer, doucement, mais surement. Ton cœur ralentit, l’instant était presque arrêté par rapport à la vitesse que tu venais de déployer. Un battement de cils, un battement de cœur. C’était ce qu’il t’avait couté de déplacer ainsi pour venir empaler ton ennemie qui à présent semblait vouloir jouer au amant. Il semblait perdu dans sa folie, avançant sur ta lame de son propre fait, cherchant à s’approcher de toi, la haine, la douleur, mais aussi une sorte d’extase malsaine lisible sur son visage. Une passion comme tu n’en avais jamais vu chez d’autres que les fous qui venaient à se suicider en emportant le maximum d’âme dans leurs tourments. Il avança sa main vers toi, plutôt lentement, mais tu n’en avais que faire. C’était là le geste d’un homme dont le désespoir, c’était fait mettre de son corps. Impossible pour lui de réellement te blesser, il mourrait certainement avant même d’avoir réussi à serrer suffisamment fort pour t’empecher de respirer.

Dialogue de personnage
« Pathétique. »


Tu soufflais ce mot, si bas que seul ton adversaire aurais put l’entendre. Et même si c’était le cas, il semblait déjà avoir perdu toute raison et donc par la même occasion, perdue toute humanité pour toi. Mais derrière toi, ton frère ne l’entendait pas de la même façon. Il s’avança, forçant l’Hattori rebel à le regarder dans les yeux pour une danse qui ne se finirait que d’ici des heures dans son esprit. Une longue agonie venait d’être signée, la psyché d’un être pareil ne pouvant que sombrer dans une telle illusion. Entre son plus grand plaisir morbide et la peur certaine d’une torture qui deviendrait une réalité. Quelques secondes passèrent, peut-être une minute. Tu ne fis rien, tu continuas de regarder, attendant simplement que Nobuhisa obtienne sa vengeance. Mais sans prévenir, L’homme se mit à hurler. D’un réflexe, tu poussais ton frère et t’interposa, sachant parfaitement que la maitrise d’un tel genjutsu ne devait pas être de tout repos, mais surtout que la sortie de toute illusion pouvait offrir une ouverture pour une attaque ennemie.

Dialogue de personnage
« LES MIROIRS , MON VISAGE, RETIREZ LES, LES MIROIRS !!!! »


Il portait alors les mains à son visage, son regard troublé, la folie se lisant dans ses pupilles alors qu’ils continuaient d’enfoncer sa lame dans son corps, bougeant tellement que les dégâts occasionné ne faisait que s’aggraver. La peur, la folie, l’abandon. Il était à présent une proie face à la mort, acculé, mourrant, puni de ses actes, mais jamais pardonné. Tu avais encore le choix de le laisser en vie pour qu’il réponde de tout cela devant la justice de Kumo, ou tu pouvais le tuer froidement. La première option ne te semblait en rien juste. Dieu seul savait combien de personne avait subi les mêmes actes que ta cousine. Dieu seul savait combien et pour cela, ses crimes ne serait jamais justement punis. Œil pour œil, dent pour dent certainement. Nobuhisa était partisans de cette pensée non ? Ton regard se calmait alors que tu donnais un violent coup de pied à l’homme pour débarrasser ta lame de l’immondice qui la recouvrait. Tu avais tapé suffisamment fort dans ses cotes pour en briser certainement.

Dialogue de personnage
« Tu mériterais de mourir de la main de ta victime, mais je ne laisserais pas Riku avoir du sang sur les mains. Fermes les yeux, Hosoroshi. »


Tes paroles étaient froides, dénuées de toute émotion alors que tu pouvais voir la folie continuer de s’installer chez lui, touchant son visage, se cachant de tout reflet, même de celui de tes yeux semblait-il. Tu levais ton Katana, prêt à rendre la sentence irrévocable. Coupable. C’était ce que ton geste signifiait lorsque tu l’abaissais rapidement pour lui porter le coup qui lui serait fatal.

HRP : C'est assez explicite, Yuhei donne le coup de grâce. Libre à toi de voir s'il tente une dernière esquive pour lutter ou si c'est lethal !

Publié le 25 Septembre 2021 vers 14h

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Oui.. Tu avais ce cou si sensible entre tes mains maintenant et il ne te restait qu'une chose; forcer pour lui briser le cou. Tu te mordais les coins de la lèvre alors que tu imaginais toutes les scènes les plus dégradantes quand son corps ne fera qu'un avec la mort. Il t'insultait, mais tu n'entendais pas. Tu n'entendais plus les paroles. Tu avais décidé d'embrasser cette fameuse folie et ce plaisir interdit et il était trop tard pour te raisonner. Tu avais atteint ton apogée et maintenant, tu ne souhaitais plus qu'une chose; les tuer et saccager leurs corps. Peut-être que tu ne survivrais pas, mais tu ne pouvais partir sans accomplir ton chef d'oeuvre. Alors, tu forçais, le plus fort que tu pouvais, incrustant tes ongles lentement dans sa peau. Cependant, la petite tchoin de l'Hattori avait décidé de réagir. Cette salope s'approcha alors de toi qui prenait un plaisir dans cette situation, puis, te prit dans le cou et te fixa dans les yeux. Tes pupilles étaient dilatés par cette folie qui avait prit le dessus, tel un animal. Étrangement, en quelques secondes, la chambre où que vous étiez avait disparu, laissant une ambiance.. étrange dans cette pièce. C'était quoi, cette sorcellerie? Où que la gitane t'avait amener? Des éclairs frappaient dans le ciel, tombant proche de toi. Elles étaient rouges comme le sang sur le sol, comme le sang sur les corps. Les cris retentaient, te faisant rappeler ce fameux soir où que toute ta famille avait perdu vie. D'ailleurs, les corps gisant sur le sol étaient les membres de ta famille. Ta mère, ton frère... tout le monde était présent et mort devant toi. Néanmoins, peut-être pensait-il que tu avais une once d'amour pour eux, tu laissas un rire exploser, alors que tu le fixas, le sourire fendu jusqu'aux oreilles.

Dialogue de personnage
« Tu crois que tu vas me faire culpabiliser, la gitane? Hahahaha.. Tu fais pitié. »


Le Miwaku n'avait pas dit son dernier mot. Comme s'il avait prit tes dires pour un défi, celui-ci claqua des doigts, faisant apparaître des ronces qui lacéraient la peau de ton corps, te faisant saigner. La douleur semblait tellement réelle.. que tu tombais facilement dans le piège du Miwaku sans le savoir. Tu grognais sous la douleur, mais, sous ces grognements, il cachait aussi un plaisir malsain. Tu aimais ce que la souffrance t'apportait en ce moment, tu rêvais que.. cette douleur soit mutuelle. Tu pouvais quasiment baver à force de gémir qui était distordu entre la douleur et le plaisir. Tu laissas un petit rire narquois passé entre tes lèvres quand la petite esclave de l'Hattori vint te menacer. Pour rien au monde, tu le supplierais. C'était lui qui allait bientôt goûter à sa propre médecine ou était-ce la tienne? Tu avais ce sourire arrogant sur ton visage, confiant en tes capacités à lui résister. Mais alors que tu observas d'une telle arrogance la petite pute devant toi, tu perdis aussitôt ton sourire quand celui-ci approcha doucement le kunai vers ton si beau visage. Tu avais un visage sévère colérique, tandis que le son de ta voix était sec.

Dialogue de personnage
« Tu fous quoi, grosse catin? »


Sans même te répondre et ni arrêter, le Miwaku planta alors pour tailler doucement la peau de ton visage. Tes yeux s'écarquillèrent peu à peu. Tu ressentais de la rage envers lui, mais aussi, un sentiment drôlement inconnu. Tu connaissais pas ce mot qui t'envahissait tranquillement alors que la courtisane commençait à arracher la peau de ton visage petit à petit. Tu commençais à hurler, à lui ordonner d'arrêter, à le maudire, mais en vain. Il n'écoutait pas. Il n'écoutait plus. Pour la première fois; tu étais la proie. Tu ne pouvais rien faire pour arrêter cette douleur. Il t'avait montrer ce visage tellement ignoble qui faisait maintenant partie de ton corps et cela te faisait perdre la tête. Tu pouvais tout accepter les douleurs du monde, mais, saccager ton charme, ton charisme de la sorte... tu ne pouvais accepter.

Après ces minutes aussi longues, tu hurlais de toutes tes forces, puis, par pure réflexe, tes mains se plaçaient sur ton visage, incrustant tes ongles dans la peau. La peur, mais aussi la rage se lisait dans ton regard qui avait sombrer dans la folie. Tu avais l'impression de voir ce fameux visage hideux partout où tu regardais.

Dialogue de personnage
« LES MIROIRS , MON VISAGE, RETIREZ LES, LES MIROIRS !!!! »


C'était les premières paroles que tu laissais entendre, alors que ton corps se déchirait peu à peu sous le mouvement de l'épée. Tes ongles serraient fortement tes joues, laissant peu à peu des marques apparaître sur ta peau. Tu n'attendais guère les paroles de l'Hattori devant toi, mais malgré que tu t'entais de l'observer du coin de ton oeil, tu évitas de le regarder dans les yeux, par peur de voir cette autre personne derrière ta mue. Néanmoins, avec tout le courage qu'il restait, tu lui criais dessus à plein poumon.

Dialogue de personnage
« JE TE MAUDIS HATTORI AVEC TA SALOPE MIWAKU. J'VAIS VOUS HANTER ET BRISER VOTRE ÂME. JE VAIS VOUS ENCULER ET V- »


Tu n'eus guère le temps de finir ta phrase, que la lame trancha ce qui te retenait en vie et, d'un coup, les rideau fut abaisser alors que tu fus apporter par la faucheuse...

HRP : Hosoroshi est mort.

Publié le 27 Septembre 2021 vers 10h