Nouveau copain !

Tu ne comprenais pas pourquoi la tortue s'arrêtait dans son explication et lorsque tu te retournais tu voyais la grande gueule de l'alligator venir à toi !


Tu étais encore bien jeune et tu ne savais pas te battre... mais Momo, ton grand protecteur se jetait sur la grosse bête et la faisait fuir loin de vous deux. Une chance qu'il était avec toi, sinon tu ne serais plus là. C'était alors qu'un drôle de souvenir flou jaillissait de la surface: Peluchon se faisant dévorer par l'un de ses animaux reptiliens... Tu te tenais très fort la tête, car ca te faisait vraiment bobo. Ton grand ami s'inquiétait pour toi et te demander si tout allait bien. Tu commençais à pleurer tes larmes de crocodiles:


C'était comme si une partie d'un sceau venait de se briser. Tu courais et sautais dans les pattes de Momo pour lui faire un câlin.

Bon il était sans doute temps de rentrer la petite semblait avoir eu une vie bien difficile et il n'était pas question de lui créer de nouveau traumatisme, alors qu'elle pleurait Momo la souleva pour la prendre dans ses bras et la blottir contre lui puis il lui dit.



Je ne la laissait plus au sol, je labportait jusqu'à atteindre le marécages dans lequel était caché notre cité. Si cette jeune fille n'avait plus ses parents je pouvais très bien m'occuper d'elle, aillant moi même perdu ma fille, c'était peut être le destin qui nous avait rassemblé.



Le chemin parru moins long au retour les deux était déjà arrivé sur la rive qui allait leur permettre de rentrer à l'abri...

Tu te laissais faire quand Momo te prenait dans ses bras avant qu'il te demandait qui était polochon...


La fatigue commençait à t'emporte et tu posais ta tête sur l'épaule de la tortue avant qu'il ne te demandait quelque chose d'autre. Mais à chaque fois que tu essayais de te souvenir, tu n'y parvenais comme si ton esprit était "bloqué". De plus ca te faisait vraiment bobo à la tête...


Et tu finissais par mettre ton pouce en bouche gardant ta tête au niveau de son cou. Il ne se faisait pas prier pour renter au plus vite et bientôt vous parvenez à l'entrée de ta nouvelle maison. Tu commençais à bâiller et à somnoler. Cette petite balade censée être tranquille te fatiguais assez vite. Il fallait dire que l'émotion était au rendez-vous et vous ne tardez pas à retourner dans le village sous l'eau.

La pauvre petite, j'avais bien compris le sort que ses parents avait du avoir il était hors de question que je la laisse seule dans un orphelina ou élevé par des monstre qui allait en faire une guerrière sans cherché à comprendre ce qu'elle avait reelement envie de faire dans la vie. Bien sur je n'étais qu'un ancien paysans aillant appris à me battre par la force des choses, mais j'étais sur de pouvoir protéger cette petite fille.



Nous étions maintenant arrivé chez moi, où plutôt chez nous, bien sur je lui demanderais son avis, mais si elle était d'accord pour rester avec moi je l'adopterais. Mais pour le moment c'était l'heure de là sieste je bordais la petite fille dans mon lit, j'irais lui en fabriquer un pour mettre dans sa propre chambre si elle restait.



Avec ma grosse pâte calleuse à force de travailler la terre, je caressait la tête de la petite fille avant de la laisser dormir