Inspection surprise

Tu ne voulais pas intervenir dans leur petite querelle fraternelle qui n’en était pas vraiment une, tu te contente de voir que Hotaru est bien moins froid et stoïque en présence familière, mais le problème doit venir de ses pertes de raison. Tu te dis qu’il serait intéressant un jour de voir de quoi il en retourne ou simplement faire un tour dans le quartier pour récupérer des témoignages de ce qui a pu se passer les années précédentes ou ne serait-ce que récemment. Il y a toujours de l’activité à Kumo, mais s’il était aussi simple d’obtenir les informations, tu serais simplement au chômage. Hotaru semble avoir compris que ton rôle dans l’empire n’était pas si anodin et te fait ce que tu comprends comme un compliment.



La remarque sur ton physique te fais doucement rire et tu ne cache pas la pointe de mépris dans ton regard. Tu pointes d’ailleurs du doigt l'aîné qui profère des menaces amicales, du moins tu le penses, à son cadet pour voir s’il pouvait subir le même sort et être tout aussi opérationnel. Hosoroshi vante sa franchise, une qualité que tu appréciait tout particulièrement car tu n’avais pas à te fatiguer pour rien pour obtenir des informations capitales. Elles étaient arrivées seules et cela t’as grandement facilité le travail. Tu n’as pas eu besoin de trouver une excuse pour savoir ce qu’Azamuku avait fait au moins. Tu trouves simplement étrange sa soudaine envie d’exploser des demeures Hattori. Tu constates simplement un point commun entre les deux qui est celui de ne pas apprécier leur mère et tu penses très sincèrement être loin du compte.



Tu éclates de rire en les écoutant se chamailler une nouvelle fois et n’a pas le temps de réagir sur le fait que tu es normalement de passage et qu’il n’était pas nécessaire de t’offrir à boire qu’un verre de saké est instantanément apporté. Tu Vois qu’un verre de thé est assigné à Hotaru qui est mécontent de ce traitement mais n’engage pas le débat.

L’espion de la main de l’empereur ou l’empereur ou la sœur du petit frère de l’empereur. Tu t’en moquais de qui était qui car au final, c’était l’empereur et puis le reste. Bien sûr, l’idéal est d’avoir ses faveurs pour monter dans la noblesse Hattori et tu comptais bien t’elever le plus haut possible. C’est un bel objectif à te donner , ambitieux et ça nous permettra plus de liberté et d’invisibilité.



Tu jetais un petit regard malicieux vers ton frère. Le reste n’était que facultatif. Tu t’occuperas de notre mère quand tu auras atteint les hautes sphères. Mais qu’il était grognon comme à son habitude.



Tu réfléchissais un moment en posant ta main sur ton front alors que tu vois ton frère déçu du contenue de son verre.



Tu lui souris.



Tu disais ça sur un ton ironique... ou pas. Autant laisser planer un certain doute.



Tu servais à nouveau du saké à Nobuhisa.

Il acquiesce le fait que les Miwaku gagnait en puissance et ne pouvait s’empêcher de prendre en considération qu’ils étaient aussi de plus en plus téméraires dans leur décisions quotidienne. La petite Iwata qui vient carrément demander de travailler ici, l’autre qui explose une partie de la maison et le dernier venu qui travaille plus ou moins pour l’empereur. Il va s’en dire que le clan asservit se montre plus important qu’il ne l’était il y a quelques années. Le manoir était plein de Miwaku et Hattori de bas étage, il en était presque déçu de savoir que les personnes qui finissaient par travailler pour sa famille n'étaient que de simples âmes perdues. Ils avaient un travail, désagréable certes, mais ils avaient l’avantage de ne pas être dans un de ces nombreux bordel et d’être convenablement payé mine de rien. Un léger syndrome de stockholm pour qui habite dans l’enceinte de ce manoir.

Il sirote son thé pendant que les deux prennent le soin de trinquer et boire. Il se contente d’écouter, il n'a pas envie de rentrer dans la conversation. Hosoroshi semblait être comme un enfant s’étant fait un nouveau copain et qui ne voulait pas qu’on l’embête. Il écoute cependant activement la conversation et se renseigne par la même occasion sur tout ce qui se passe à l’extérieur des murs du manoir de la folie. Le grand pâlichon n’était en effet pas revenu depuis et il se demandait où il pouvait bien être. Mais revient le sujet de leur génitrice qui fait apparaître une grimace sur le visage du flûtiste.


Lui qui critiquait le franc parlé de son frère n’était pas mal non plus dans son genre. Il retourne à sa contemplation de l’extérieur tout en écoutant son cadet donner des explications abracadabrantes au jeune espion. Il est vrai qu’il y avait plus compliqué que cette fratrie pour les interrogations. Ils avaient la mauvaise habitude de dire ce qu’ils pensaient à voix haute.


Il agite sa main comme pour signaler sa présence avec un sourire moqueur.

Tu hausse les épaules et descend simplement de ton mur pour entrer dans le jardin et t’asseoir convenablement et boire sans risquer de tomber à la renverse. Hosoroshi mentionne la montée en puissance des Miwaku qui semble être bien plus flagrante que par le passé. Une chose à laquelle tu agrées et réfute en même temps.



Tu te contente de rire quand le plus jeune rabaisse amicalement son frère, une relation fraternelle étrange comparé à la tienne qui n’est déjà pas dans la norme. Il est clair que l'aîné manquait de convention sociale basique, mais il serait difficile de le lui reprocher en sachant qu’il passe son temps enfermé dans un manoir et que le maximum de ses sorties se font dans un jardin qu’il doit avoir parcouru en long, large et travers. Tu penses que tu serais tout aussi désagréable si cela t’étais arrivé.



Tu réfléchis un court instant et prends une gorgée dans ton verre. Il n’était plus ici depuis un moment, en effet. Les missions impériales hors des montagnes sont souvent un aller simple vers la mort. Tu ne sais pas s’il va être capable de revenir ou non, mais dans tous les cas cette absence ne te faisait pas de mal. Tu pouvais sortir sans avoir une menace proférée toutes les 5 secondes.



Un sourire s’affiche au sous entendu meurtrier de cadet, mais tu manques de t’étouffer avec ton saké à la remarque d’Hotaru qui lance clairement le pavé dans la marre. La franchise de cette famille aura raison de toi un jour, mais tu t’amuses tout de même de la situation en reprenant ton souffle.



Il est vrai que tu bois au travail parce que tu n’en as pas vraiment le choix. Traîner dans les quartiers de tous les vices implique l’idée d’en commettre à ton tour. Tu as dû apprendre rapidement à ne pas subir les effets secondaires de l’alcool pour être plus apte à garder les idées claires en mission. Mais c’est bien la première fois que tu as si peu d’efforts à faire pour ta mission. Le plus âgé omettait des détails, mais il n’était pas vraiment à tenter de cacher la vérité non plus. Tu secoues la tête et rigole.

Tu avais une idée qui te faisais bien rire et qui serait une mort bien comique.



Vrai que l’on faisait en sorte d’exécuter les Miwaku trop gênant et qu’ils étaient tout de même puissants. Après, il y a des cas particulier comme il le fait si bien remarquer. Dans son cas, il avait travailler dur et il ne portait pas dans son cœur ce Azamuku, il était bon de le souligner.



Quand le chat n’est pas là, les souris dansent. Tu avais les informations que tu désirais avoir à son sujet et même au sujet de Nobuhisa.
Ton frère avait dit presque toute la vérité et tu t’en amusais de voir comment Nobuhisa te décrivait.



Tu souriais en regardant Nobuhisa et puis ton frère.



Tu prenais la bouteille de saké et tu la donnais à ton frère.

Il fait référence à sa capacité cachée qu’il pourrait utiliser contre sa mère, mais la relation serait rapidement faite par la suite. Il doutait que qui que ce soit d’autre dans le village soit en possession de cette faculté hors du commun. Si c’était le cas, elle se cachait bien en tout cas. Mais il cesse de réfléchir à cela quand il mentionne l’invité témoin du dérangement mental de la famille chez qui il était. Il le trouvait tout de même bien courageux de rester avec un tel danger! Il reste passif sur le reste de la conversation et reste somnolé en remuant son thé le regard perdu dans le vide. Il ne ressort de son esprit qu’en entendant Nobuhisa mentionner les problèmes mentaux de son frère. Un détail qui le fait rire.



Il se tait quand il voit la bouteille s’approcher de lui. Un moyen de le faire taire ou de le convaincre de le suivre dans ses plans. Le voilà qui veut partir en escapade dans le village.

Tu fais mine de rien en les écoutant parler et juste confirmer ce que tu pensais au sujet de la famille qui habite dans ce manoir. Tu te dis qu’il ne serait pas de trop de surveiller la demeure de la folie. Aussi sympathique qu’ils puissent paraître actuellement, tu as le sentiment que les deux frères sont loin d’être des enfants de cœur. Tu n’as pas vraiment ton mot à dire, mais tu sens que la situation pourrait rapidement tourner au vinaigre. Hosoroshi semblait avoir une particularité qui se démarque des autres Kumojin, décidément cette famille à plus de secret dans ses tiroirs qu’il n’y paraît.



Autant tenter la chance, tu te dis qu’avec son franc parler, il serait peut être simplement plus simple de lui demander plutôt que de tourner autour du pot. Le point faible d’Azamuku était pour toi encore inconnu. Hormis sa confiance en lui surdimensionnée, une chose qui lui coûterait cher au final. Tu te dis simplement qu’il aura ce qu’il mérite un jour ou l’autre, tu n’arrêtes pas de t'entraîner pour au moins le dominer dans un domaine, mais il sera tout de même difficile pour toi de l’avoir seul. Un sourire se dessine sur ton visage quand il plaide la sanité.



Tu te demandes si Yuhei serait disponible pour un entretien avec le cadet, tu ne savais pas son emploi du temps par cœur me disait qu’il serait bon pour lui d’envoyer une requête.



Tu le vois tendre la bouteille à son frère qui se pose des questions sur sa subite bienveillance. Il donne une information qui t'intrigue.

Tu écoutais avec un grand amusement notre invité et ton frère. On parlait ouvertement de tuer nôtre mère devant un espion. Nous n’étions plus dans la folie à ce stade la, Nobuhisa en était presque complice. Tu souriais gracieusement à ton frère en remettant ta mèche de cheveux sur le côté. Il y avait pas mal de vent, c’était vraiment agaçant. Toi qui était si précieux sur l’apparence.



Remettre le désordre dans le quartier des plaisirs. Ce n’était pas tout à fait vrai mais pas tout à fait faux.



Tu regardes un instant Nobuhisa.



En voilà une question intéressante. Tu y approches de Nobuhisa subtilement.



Tu t’écartais.



Tu lui fais un clin d’œil subtile avant d’être déçu de savoir que Yuhei était très occupé.



Rien contre la balade mais il devait faire attention à son image,



Tu jetais un regard à ton frère.





Tu avais envie de t’amuser sainement pour une fois.

C’était une bien prétention que de se penser le moins fou des deux frères, mais Hotaru décide simplement de passer outre ce détail et jette son thé pour se servir de l’alcool. Il n’avait pas envie de finir complètement hors service avant de pouvoir poser le pied sur le sol et ne remplit pas son verre. Il savait que la sortie serait de trop courte durée si jamais il se laissait aller. Il sirote son alcool en écoutant les louanges de son frère qui n’hésite tout de même pas à se lancer lui-même des fleurs pour ses bonnes actions tout de même plus proche du chaos que de la bienveillance qu’il semble prôner.



Nobuhisa lui rigolait et était étonné de savoir que le borgne était aussi bon que chaotique à la fois, il essayait tout de même de comprendre le pourquoi du comment et ce qui pouvait bien se passer dans la tête de cet homme.



Il lève les yeux au ciel et repense à ces enfants qu’ils avaient en effet ramenés dans la demeure. Il n’avait pas mis le pied dans le jardin pendant 1 semaine pour être certain de ne pas les croiser et entendre leur voix stridente résonner dans sa boîte crânienne. Le simple fait de l’imaginer de nouveau lui donne un frisson de dégoût et reprend une gorgée.



L’espion écoutait encore les deux se chamailler pour un rien, il est clair que l’ambiance ici était plus agitée qu’au manoir de Yuhei, mais ce n’était pas plus mal d’avoir du calme à la maison, lui qui était en permanence surmener de travail à devoir apprendre les faits et gestes de tous les membres important de Kumo. L’air stoïque de son frère aidait à calmer le jeu.



La bête semblait lâcher à la question du jeune espion. Hotaru regarde son frère faire son petit numéro et se demande s’il va finir coller au mur. A sa grande surprise, il ne fait que le titiller en lui disant qu’il le verra bien assez tôt. C’est un fait, il ne voulait pas simplement se dégourdir les jambes mais bel et bien encore prétendre à la bonne action pour laisser ressortir ses pulsions de violence. Un trait en commun de cette famille un fois de plus. Il reste tranquillement à boire pendant que son frère tente de se rapprocher de la main de l’empereur. Il ne comprenait pas vraiment ce qu’il comptait faire en léchant les bottes du Raikage et des ses servants. Lui ne voyait pas d’intérêt à servir l’empire, mais après un traitement proche de la torture ce n’était pas si étonnant. Il servait ses propres intérêts en priorité, mais ne crachait pas non plus sur ce que Kumo avait bâti.



Il décroche un petit sourire et chantonne en entamant sa descente de l’arbre pour rejoindre le petit duo. Il remet son kimono convenablement et se recoiffe avant de commencer sa route vers la porte de sortie sans même dire un mot. Mais une chose est sûre c' est qu’il était prêt!



L’espion restait calme et se mit à suivre Hotaru, il avait bien pris en compte le fait qu’Hosoroshi pouvait être plus dangereux que le frère instable avec sa particularité. Une information qu’il faudra donner à Yuhei avant qu’il ne le rencontre. Il l’apprendra peut-être dans leur petite sortie ou simplement plus tard, mais il n’avait pas envie de l’apprendre à ses dépends.

Les félicitations étaient totalement ironique. Tu savais bien que ce petit souci avait causes des ennuis auditifs à ton frère d’entendre autant d’enfant dans la demeure. Mais c’était de l’histoire ancienne. Ils étaient placés dans des bonnes familles Hattori. Certes, ils allaient les servir mais tu avais prit soin de sélectionner les endroits où ils seraient vraiment bien traiter. Tu écoutais ton frère qui exprimait son mécontentement. Tu faisais encore ce que tu voulais car c’était aussi chez toi et que ce genre d’évènement était très rare.



Nobuhisa trouvait cet acte noble mais odieux à la fois pour le massacre que nous avions effectué dans ce bar. Tu lui souriais doucement en haussant les épaules.



Tu laissais échapper un rire alors que ton frère faisait une démonstration de son sadisme à vouloir encore me donner un mal de crâne.



On y allait enfin et tu prenais les devants sur ton frère pour nous amener vers un quartier luxueux parmi les plaisirs. On entrait alors dans un bar assez particulier. Tu savais que ce genre d’endroit pouvait devenir une véritable scène de théâtre des plus jovial à condition d’aimer le genre. On s’installait à une table et tu commandais directement à boire.



En effet, il n’y avait que des hommes ici mais tu pensais vraiment que cela allait plaire à Nobuhisa.



Passons une soirée tranquille loin des Geisha que tu aimais tant. Tu avais de toute façon réservé déjà quelques services.



Tu regardais alors l’espion.



Les langues se déliaient rapidement de différents maniérés. Un peu d’alcool, une touche de charme et tout ces bouffons te mangeaient dans la main à te raconter leurs vies et les potins du quartier. C’était assez agréable de jouer de ton charme en ce lieu alors que tu ne laissais rien au hasard et que tu remballais tout ces hommes voulant autre chose que ta parole. Tu finissais d’ailleurs tes soirées que trop souvent chez toi accompagné de quelques femmes. Ce qui devaient fortement déranger ton frère vu qu’il pouvait tout entendre. Tu devrais penser à lui acheter un casque pour son bien. Il ne doit pas fort apprécier les cris répétitifs de chaque nuit dans notre demeure.

C’est un regard de dédain qui suis la remarque de son frère quand il mentionne les enfants. Il n’avait aucune envie de faire d'efforts concernant les humains miniatures. Et il n’avait aucunement envie de s'arrêter de râler, c'était comme une manière de vérifier qu’il était encore en vie pour lui.



Nobuhisa était encore en train de rire de voir ce petit numéro de cirque se faire devant lui mais revient rapidement sur le sujet que venait d’engager Hosoroshi au sujet de son petit nettoyage de printemps des quartiers sales de Kumo. Il fait écho à la destruction des bâtiments et les souvenirs remontent ensuite. Il est vrai que la nouvelle avait pas mal circulé dans le village. Heureusement qu’il s’en était sorti indemne et surtout invisible. Il ne donnerait pas cher de sa peau sinon.



Il se contente de hausser les épaules, ne préférant pas engager d’avantage la conversation. Hotaru lui chantonne gaiement en prenant le chemin des quartiers des plaisirs. Il est vite rattrapé par Nobuhisa et son cadet et il est étrangement de bonne humeur et discute le long du chemin. De choses et d'autres mais il ne semblait plus vraiment de mauvaise humeur. Les bienfaits de l’alcool probablement.

Ils entrent dans un établissement, Hotaru ne semble pas plus perturbé que ça en entrant dans le bar et va directement s’asseoir et ne loupe pas la mention de son frère concernant le fait qu’il était libre de boire autant qu’il le voulait. Nobuhisa lui reste surpris de l’établissement choisit par Hosoroshi et est un peu hésitant avant de rentrer. Il suit le duo et s’assoit en silence en observant la salle et se demande s’il n’y a pas eu erreur.


Hotaru décide de finalement faire un tour de pièce du regard et hausse simplement les épaules. Il note qu’il allait encore devoir faire abstraction des bruits ambiants du manoir ce soir. De toutes les pièces de la maison, il fallait que sa chambre soit à portée d’ouïe.



Nobuhisa rigole à la réflexion, rien ne semblait être assez beau ou bon pour le plus vieux des frères et il semblait simplement vivre dans son propre monde. Il se demandait ce qui pouvait bien lui passer par la tête. Mais il fait rapidement le rapprochement assez rapidement et fait simplement comme si de rien n’était. Il hoche la tête pour confirmer le fait que ce genre de lieu était propice aux informations. Un des éphèbes tourne autour du trio et part vers Hosoroshi qui s’amuse de la situation.

Tu ne pouvais t’empêcher de rire en voyant la tête de Nobuhisa et de ton frère sur ce lieu. Tu n’en avais que faire pour l’endroit. Tu voulais juste te réjouir du futur malheureux des autres. Tu comptais t’amusais à en faire souffrir quelques uns ouvertement et sans retenue. Tu changeais juste de lieu pour te faire oublier un bon moment. Ici, ça faisait plusieurs mois que tu n’y avais plus mit un seul pied. Ton frère te faisait une remarque des plus désobligeantes et tu le regardais d’un œil sévère.



Tu éclatais de nouveau de rire sans retenue pour bien te faire remarquer. Pendant ce temps, Nobuhisa te faisait remarquer qu’un homme s’intéressait à ta personne. Tu le regardais alors et tu lui souriais comme pour l’inciter à venir.



Celui-ci approchait, un peu trop entreprenant dès le départ à vouloir prendre place à notre table. Tu lui disais de stopper alors que ta main lobe sa cuisse pour arriver vers l’endroit fatidique et, dans un élan de générosité, tu lui broies suffisamment ces bijoux de failles pour qu’il étouffe son crie de douleur avant de le recoucher et le voir fuir vers les toilettes.



En parlant de ton frère, il y avait un homme qui tentait une approche... moment crucial... allait il laisser éclater au grand jours son attirance sexuelle ou simplement le tuer?