Funerailles

Voilà le patriarche avait passé l'arme à gauche. Bizarrement cela lui était arrivé après qu'il ai un peu trop insisté pour récupérer son fils. Et pour qu'il se mari avec Kazuna. L'homme était mort dans des circonstances inconnues peu après. Certains dirait une crise cardiaque, mais Kazuna n'était pas dupes, son père c'était fait empoisonner et sans doute par sa mère. Les funérailles avait était belle, et la mère de la futur cheffe des masques, n'avait pas versé une larme. La population aura prit ça comme la fierté d'une femme effondré. Mais Kazuna elle prennait ça comme la joie dissimulé d'une femme libre de ses chaînes. L'office dura prêt d'une heure, et l'homme fut ensuite incinéré, et avec lui les moyens de faire emprisonner ou exécuter sa mère. Kazuna quitta les lieux un peu plus tôt, puis marcha un peu seule. Elle sentait que quelqu'un la regardait, mais elle ne pourrait pas dire qui.



Dit elle après s'être arrêté de marcher.

Aujourd’hui était un sombre jour, Reiko venait de perdre son père, et il ne pourrait nullement assister à ses funérailles. Il ne pu les suivre que de l’extérieur, ne voulant pas se retrouver près de sa mère. On racontait qu’il était mort naturellement, Reiko ne savait pas si c’était le cas, ne vivant plus au domicile familiale il n’était plus au courant de rien.
Les funérailles n’étaient pas encore terminées que Reiko aperçu quelqu’un partir, cette personne ce n’était pas n’importe qui. Il l’avait bien reconnu c’était sa sœur. Il décida de la suivre discrètement. Encapuchonné, Reiko descendit du toit où il se trouvait.
Il la suivi durant quelques mettre, jusqu’à que ce que Kazuna se rende compte de sa présence. Elle se stoppa et demanda qui était là.
Alors Reiko sortit de l’ombre de la ruelle, et vint se placer face à sa soeur.



Cela devait faire à peu près trois ou quatre mois qu’ils ne s’étaient pas vu, les rendez-vous au sommet de la montagne n’ayant pas changé de date.
Depuis son départ il y a 4 ans, Reiko à eu le temps de commencer à vivre de lui même. Il n’était désormais plus seul, quelqu’un travaillait pour lui.



Il ne lui demandait pas comment elle allait, ces détails n'étant que de moindre importance pour Reiko, qui souhaitait des réponses.

Kazuna se retrouva nez à nez avec son frère. Elle l'avait vu il n'y a pas trop longtemps. Il était devenu plus bel homme qu'elle ne l'aurait imaginé. Dommage que leurs mère les ai empêché de se marier finalement. Car Masashi la degoutait au plus haut point. Pas un bonjour, pas un comment va tu. Juste une question. Une question que Kazuna se posait aussi.



C'était une sorte d'appel au secour. Mais son frère ni répondrait sans aucun doute pas. Kazuna lui dit alors.

Malgré l’absence de preuve, Kazuna pensait à un empoisonnement, venant de leur mère cela n’a presque pas étonné Reiko. Sa sœur, ne voulait désormais plus vivre seule avec elle, mais il ne fallait pas qu’elle compte sur Reiko, il était déjà passé à autre chose.
Elle lui proposa ensuite de marcher, leur mère pourrait sortir à tout moment, et la voir ne serait pas la meilleure des choses à faire.



Ils commencèrent tout deux à vagabonder à travers les ruelles, Reiko ayant gardé sa capuche, au cas où.



Malgré le fait qu’il savait que Kazuna ne serait jamais sienne, il ne pouvait s’empêcher d’être rancunier et de penser que sa mère avait fait une erreur. Une erreur comme en font les gens avides de pouvoir. Une autre question restait dans l’esprit de Reiko, pourquoi leur mère aurait-elle commit ce crime ?



Reiko espérait, au fond de lui que ce n'était pas son départ qui avait fait que leurs relations s'étaient détériorer.

Kazuna voulait protéger son frère. Elle se sentait bizarrement proche de lui depuis cette fameuse nuit. Mais elle savait qu'ils ne recommenceraient jamais ce genre de choses. Du moins pas temps que leur mère était présente dans les environs. Bien sûr que leur père avait était tué parce qu'il voulait le retour de son fils. Mais Kazuna ne lui dirait pas ainsi. Jamais. Cela aurait été trop dur pour Reiko.



Puis elle lui dit avec une voix plus douce. En restant tout de même à bonne distance.



C'était froid c'était sec mais il savait à quoi s'en tenir.